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Je suis retourné à Samara 16 Illustration Brase d'Anjou
4 participants
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Je suis retourné à Samara 16 Illustration Brase d'Anjou
Finalement de Lavière lâche : « votre travail a fait apparaître une… possibilité inattendue.
Je ne réagis pas. Je ne peux pas tout faire. Je fume. Et le tabac est excellent.
Devant mon apparente passivité Jo prend le relais dans le genre on est copain : « Il faudrait que tu acceptes de … (elle hésite) participer.
Je la regarde et dit simplement « Et… »
Je me rends bien compte qu’ils sont dans leurs petits souliers.
Ils veulent me demander de faire quelque chose, mais pour cela il va falloir m’en dire plus. Et manifestement ils cherchent comment m’embarquer avant de me donner des explications.
Le moment est plutôt amusant.
Pinocchio.
Il va falloir lui donner vie.
Dans quelle baleine allons-nous être engloutis ?
Qui sera la Fée Bleue ?
Manifestement, Rolite passe un bon moment.
- Et cela supposerait que tu sois vraiment impliqué.
- Parce que tu trouves que je ne le suis pas ?
- Pas vraiment. »
Je commence à en avoir assez.
« Ecoute, il y a un moment que j’ai compris le rôle qu’on me fait jouer. C’est particulièrement déplaisant dans la mesure où on ne me croit pas capable de comprendre pourquoi on me le fait jouer. Ça, je n’ai pas l’habitude. La place de marionnette ne me convient plus. Je pense que je vais arrêter là.»
Rolite semble sortir de sa rêverie, il s’adresse aux golfeurs : « Peut-être devriez-vous lui faire confiance. Je suis sûr qu’il est attaché aux intérêts de notre pays. »
La conversation dans la voiture me revient à l’esprit. Un vieux renard. Il connaissait la suite.
De Lavière monte au créneau : « je comprends votre mécontentement. Je vous demande de prendre en considération que le but essentiel était de vous protéger et aussi bien sûr de protéger l’opération. »
Tiens donc ! On est passé de ‘mission de leurre’ à ‘opération’ .
Je continue à fumer.
Rolite me dit : « Vous devriez peut-être les écouter »
.
Cet homme diffuse l’autorité comme un spray. Il est clair que le ‘’peut-être’’ n’est que de la courtoisie.
De Lavière me regarde. Le même regard que celui qu’il a eu dans son bureau. Celui qui vous dit : C’est sérieux.
« Pour continuer je devrai vous demander de signer un document qui vous engagera au secret sur les informations qui vous seront communiquées.
Je crois que vous en êtes parfaitement conscient mais je dois le préciser : Nous ne sommes pas au cinéma. Si vous signez et ne respectez pas votre engagement, vous risquez de lourdes sanctions pénales. Vous pouvez refuser. Il restera à vous remercier pour l’aide que vous avez apportée. »
Vous avez déjà reçu le ciel sur la tête ?
C’est exactement ce qu’il m’arrive!
Rolite se penche et appuie sur le bouton sous le plateau de la table basse. Un coup léger à la porte. « Entrez »
Un garçon se présente. « Appelez John
- Yes, Sir »
Une minute après John se présente.
« John, Time for lunch. Small dining room.
- Yes, Sir
- Call André, please
- Right now, Sir»
« Je crois qu’il est temps de passer à table. »
Il se tourne vers moi « Cela vous laissera le temps de réfléchir ».
André arrive et va aux côtés de Rolite. Se tient près de lui pendant qu’il se lève. Il ui tend ses cannes.
Rolite passe devant en nous disant non pas ‘’excuse me’’ mais ‘’forgive me’’. Ce type est vraiment spécial.
André le suit.
John est dans le couloir. Nous le suivons. Lentement.
Il nous conduit jusqu’à une petite pièce avec une baie vitrée ouvrant sur un bois du terrain de golf.
Une table ronde est dressée pour quatre personne.
Je ne m’étendrai pas sur la comparaison avec le Ritz.
Ici c’est le luxe et le raffinement. La vraie classe !
S’agit-il de m’impressionner ?
Si c’est le cas, c’est un mauvais calcul. Je ne crois pas Rolite aussi naïf.
Nous nous installons. André veille toujours sur son patron. Celui-ci s’asseoit dans une chaise avec des accoudoirs. Pas un fauteuil. Une chaise à bonne hauteur pour la table. André prend les cannes et les place dans un coin de la pièce. Sur un simple sourire de Rolite, il part.
« Je me suis permis de composer le menu. J’ai pensé qu’il vous conviendrait »
Là encore et malgré moi je note : ‘’J’ai pensé ….. conviendrait.’’ Pas ‘’plairait’’, non, conviendrait. Cet homme n’est pas là pour nous plaire.
Je ne m’étendrai pas sur le menu ni sur le service. Le Ritz devrait envoyer ses employés et ses gérants en stage ici !
La conversation se déroule. Registre potins mondains.
Pourtant je me rends vite compte que tous les trois veulent connaître exactement ce que je sais des relations franco-irakiennes, de la guerre Iran/Iraq. Ce que j’ai pu glaner en Iraq lors de mes déplacements professionnels.
Je n’ai rien à leur cacher. Je ne sais de la guerre Iran/Irak que ce qui est public et ce que j’entends ici et là dans mes déplacements dans le pays.
L’attaché militaire à Bagdad que je rencontre pratiquement chaque semaine est au courant de ce que je peux apprendre. Je suppose qu’il transmet ces informations. De peu d’importance à mon avis. Mais les petits ruisseaux… etc… , etc… . Les Irakiens savent tout cela je suppose.
Le repas avance et moi je vois venir le moment où on va me dire « Alors ? ».
Le repas ce termine. John apparaît.
« Call André, please »
Une minute après André arrive et vient assister Rolite.
John nous suit
Nous retournons dans le petit salon.
Rolite s’asseoit. André range les cannes dans le porte-parapluie et comme précédemment s’en va sur un simple sourire de Rolite qui propose café et digestif
Tout le monde décline le digestif sauf lui qui demande un Armagnac.
Les pipes sont rangées. Rolite ne prend pas la sienne. Totoche reste dans ma poche.
Dommage. J’aurais bien repris une dose de N°6. Rien n’est parfait dit le renard.
Quelques minutes se passent en échanges triviaux sur le lieu et le temps.
John arrive suivi d’un garçon qui dépose quatre cafés. Il s’approche de Rolite. pose un splendie verre ballon à pied sur la table et présente une bouteille d’Armagnac à Rolite qui lui fait signe de servir.
Sitôt terminé il se retire.
Rolite hume son café, en boit une gorgée. Fait tourner son armagnac dans le verre, le sent et le repose sur la table.
Nous buvons une gorgée de notre café et posons nos tasses.
Nous nous regardons. Qui va dégainer le premier.
Rolite me regarde et me dit : « Alors, que décidez-vous ?
- J’ai une question à poser avant d’aller plus loin.
Si, à un moment quelconque, je souhaite arrêter…
De Lavière me coupe la parole
« Vous pouvez arrêter à tout moment. Seul reste en vigueur l’engagement au secret défense. »
Je note le présent de ‘’vous pouvez’’ Il semble que pour lui il est évident que je vais dire oui. Et que c’est important.
Pour moi aussi. Je me rends compte que je vais basculer dans un tout autre monde. Que je ne connais absolument pas. Je réalise aussi que l’on me demande de servir mon pays dans la mesure de mes capacités. Je suis vraiment troublé.
Finalement je donne mon accord.
De Lavière sort une enveloppe de la poche intérieure de sa veste et l’ouvre.
Elle contient une feuille imprimée recto verso et deux feuilles imprimées agrafées ensemble.
Il me remet d’abord les deux feuilles.
« Je vous demande officiellement de lire ce document. »
On ne joue plus.
Je m’exécute. Il s’agit des articles disposant des obligations de non-divulgation pour qui a connaissance directe ou indirecte d’informations relevant du secret défense et des sanctions attachées au non-respect de ces obligations.
Lecture terminée de Lavière me demande : « avez-vous compris la totalité de ce document ?
- Oui
- Bien
Et il me remet le premier feuillet.
C’est un engagement au respect des dispositions concernant la divulgation d’informations concernant la sécurité et la défense nationale.
Je le lis recto-verso.
Schématiquement il reprend le contenu des feuillets précédents
Je remarque que mon vrai nom figure sur cette feuille
J’en conclus que tous les trois le connaissent.
Ils ont maintenu cette fiction puisque Jo le connait évidemment et je doute fort que Rolite l’ignore.
Du coup le sentiment d’être encore manipulé me reprend.
Rolite est le premier à prendre conscience de ma réaction.
« Bien sûr que nous connaissions votre nom. Vous pouvez comprendre que jusqu’ici nous ne pouvions pas changer la situation. »
Je pose la feuille sur la table.
Tous les trois ont les yeux rivés sur moi.
Je les regarde à tour de rôle, souris et dit à de Lavière :
Je ne réagis pas. Je ne peux pas tout faire. Je fume. Et le tabac est excellent.
Devant mon apparente passivité Jo prend le relais dans le genre on est copain : « Il faudrait que tu acceptes de … (elle hésite) participer.
Je la regarde et dit simplement « Et… »
Je me rends bien compte qu’ils sont dans leurs petits souliers.
Ils veulent me demander de faire quelque chose, mais pour cela il va falloir m’en dire plus. Et manifestement ils cherchent comment m’embarquer avant de me donner des explications.
Le moment est plutôt amusant.
Pinocchio.
Il va falloir lui donner vie.
Dans quelle baleine allons-nous être engloutis ?
Qui sera la Fée Bleue ?
Manifestement, Rolite passe un bon moment.
- Et cela supposerait que tu sois vraiment impliqué.
- Parce que tu trouves que je ne le suis pas ?
- Pas vraiment. »
Je commence à en avoir assez.
« Ecoute, il y a un moment que j’ai compris le rôle qu’on me fait jouer. C’est particulièrement déplaisant dans la mesure où on ne me croit pas capable de comprendre pourquoi on me le fait jouer. Ça, je n’ai pas l’habitude. La place de marionnette ne me convient plus. Je pense que je vais arrêter là.»
Rolite semble sortir de sa rêverie, il s’adresse aux golfeurs : « Peut-être devriez-vous lui faire confiance. Je suis sûr qu’il est attaché aux intérêts de notre pays. »
La conversation dans la voiture me revient à l’esprit. Un vieux renard. Il connaissait la suite.
De Lavière monte au créneau : « je comprends votre mécontentement. Je vous demande de prendre en considération que le but essentiel était de vous protéger et aussi bien sûr de protéger l’opération. »
Tiens donc ! On est passé de ‘mission de leurre’ à ‘opération’ .
Je continue à fumer.
Rolite me dit : « Vous devriez peut-être les écouter »
.
Cet homme diffuse l’autorité comme un spray. Il est clair que le ‘’peut-être’’ n’est que de la courtoisie.
De Lavière me regarde. Le même regard que celui qu’il a eu dans son bureau. Celui qui vous dit : C’est sérieux.
« Pour continuer je devrai vous demander de signer un document qui vous engagera au secret sur les informations qui vous seront communiquées.
Je crois que vous en êtes parfaitement conscient mais je dois le préciser : Nous ne sommes pas au cinéma. Si vous signez et ne respectez pas votre engagement, vous risquez de lourdes sanctions pénales. Vous pouvez refuser. Il restera à vous remercier pour l’aide que vous avez apportée. »
Vous avez déjà reçu le ciel sur la tête ?
C’est exactement ce qu’il m’arrive!
Rolite se penche et appuie sur le bouton sous le plateau de la table basse. Un coup léger à la porte. « Entrez »
Un garçon se présente. « Appelez John
- Yes, Sir »
Une minute après John se présente.
« John, Time for lunch. Small dining room.
- Yes, Sir
- Call André, please
- Right now, Sir»
« Je crois qu’il est temps de passer à table. »
Il se tourne vers moi « Cela vous laissera le temps de réfléchir ».
André arrive et va aux côtés de Rolite. Se tient près de lui pendant qu’il se lève. Il ui tend ses cannes.
Rolite passe devant en nous disant non pas ‘’excuse me’’ mais ‘’forgive me’’. Ce type est vraiment spécial.
André le suit.
John est dans le couloir. Nous le suivons. Lentement.
Il nous conduit jusqu’à une petite pièce avec une baie vitrée ouvrant sur un bois du terrain de golf.
Une table ronde est dressée pour quatre personne.
Je ne m’étendrai pas sur la comparaison avec le Ritz.
Ici c’est le luxe et le raffinement. La vraie classe !
S’agit-il de m’impressionner ?
Si c’est le cas, c’est un mauvais calcul. Je ne crois pas Rolite aussi naïf.
Nous nous installons. André veille toujours sur son patron. Celui-ci s’asseoit dans une chaise avec des accoudoirs. Pas un fauteuil. Une chaise à bonne hauteur pour la table. André prend les cannes et les place dans un coin de la pièce. Sur un simple sourire de Rolite, il part.
« Je me suis permis de composer le menu. J’ai pensé qu’il vous conviendrait »
Là encore et malgré moi je note : ‘’J’ai pensé ….. conviendrait.’’ Pas ‘’plairait’’, non, conviendrait. Cet homme n’est pas là pour nous plaire.
Je ne m’étendrai pas sur le menu ni sur le service. Le Ritz devrait envoyer ses employés et ses gérants en stage ici !
La conversation se déroule. Registre potins mondains.
Pourtant je me rends vite compte que tous les trois veulent connaître exactement ce que je sais des relations franco-irakiennes, de la guerre Iran/Iraq. Ce que j’ai pu glaner en Iraq lors de mes déplacements professionnels.
Je n’ai rien à leur cacher. Je ne sais de la guerre Iran/Irak que ce qui est public et ce que j’entends ici et là dans mes déplacements dans le pays.
L’attaché militaire à Bagdad que je rencontre pratiquement chaque semaine est au courant de ce que je peux apprendre. Je suppose qu’il transmet ces informations. De peu d’importance à mon avis. Mais les petits ruisseaux… etc… , etc… . Les Irakiens savent tout cela je suppose.
Le repas avance et moi je vois venir le moment où on va me dire « Alors ? ».
Le repas ce termine. John apparaît.
« Call André, please »
Une minute après André arrive et vient assister Rolite.
John nous suit
Nous retournons dans le petit salon.
Rolite s’asseoit. André range les cannes dans le porte-parapluie et comme précédemment s’en va sur un simple sourire de Rolite qui propose café et digestif
Tout le monde décline le digestif sauf lui qui demande un Armagnac.
Les pipes sont rangées. Rolite ne prend pas la sienne. Totoche reste dans ma poche.
Dommage. J’aurais bien repris une dose de N°6. Rien n’est parfait dit le renard.
Quelques minutes se passent en échanges triviaux sur le lieu et le temps.
John arrive suivi d’un garçon qui dépose quatre cafés. Il s’approche de Rolite. pose un splendie verre ballon à pied sur la table et présente une bouteille d’Armagnac à Rolite qui lui fait signe de servir.
Sitôt terminé il se retire.
Rolite hume son café, en boit une gorgée. Fait tourner son armagnac dans le verre, le sent et le repose sur la table.
Nous buvons une gorgée de notre café et posons nos tasses.
Nous nous regardons. Qui va dégainer le premier.
Rolite me regarde et me dit : « Alors, que décidez-vous ?
- J’ai une question à poser avant d’aller plus loin.
Si, à un moment quelconque, je souhaite arrêter…
De Lavière me coupe la parole
« Vous pouvez arrêter à tout moment. Seul reste en vigueur l’engagement au secret défense. »
Je note le présent de ‘’vous pouvez’’ Il semble que pour lui il est évident que je vais dire oui. Et que c’est important.
Pour moi aussi. Je me rends compte que je vais basculer dans un tout autre monde. Que je ne connais absolument pas. Je réalise aussi que l’on me demande de servir mon pays dans la mesure de mes capacités. Je suis vraiment troublé.
Finalement je donne mon accord.
De Lavière sort une enveloppe de la poche intérieure de sa veste et l’ouvre.
Elle contient une feuille imprimée recto verso et deux feuilles imprimées agrafées ensemble.
Il me remet d’abord les deux feuilles.
« Je vous demande officiellement de lire ce document. »
On ne joue plus.
Je m’exécute. Il s’agit des articles disposant des obligations de non-divulgation pour qui a connaissance directe ou indirecte d’informations relevant du secret défense et des sanctions attachées au non-respect de ces obligations.
Lecture terminée de Lavière me demande : « avez-vous compris la totalité de ce document ?
- Oui
- Bien
Et il me remet le premier feuillet.
C’est un engagement au respect des dispositions concernant la divulgation d’informations concernant la sécurité et la défense nationale.
Je le lis recto-verso.
Schématiquement il reprend le contenu des feuillets précédents
Je remarque que mon vrai nom figure sur cette feuille
J’en conclus que tous les trois le connaissent.
Ils ont maintenu cette fiction puisque Jo le connait évidemment et je doute fort que Rolite l’ignore.
Du coup le sentiment d’être encore manipulé me reprend.
Rolite est le premier à prendre conscience de ma réaction.
« Bien sûr que nous connaissions votre nom. Vous pouvez comprendre que jusqu’ici nous ne pouvions pas changer la situation. »
Je pose la feuille sur la table.
Tous les trois ont les yeux rivés sur moi.
Je les regarde à tour de rôle, souris et dit à de Lavière :
Dernière édition par william1941 le Sam 5 Sep 2020 - 11:19, édité 2 fois
william1941- Poète, barde, troubadour...
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Localisation : Garrigue et méditerranée. studio à Paris
Re: Je suis retourné à Samara 16 Illustration Brase d'Anjou
De plus en plus captivant, vivement demain
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Arnaud
Pétuneur Amateur
Arnaud57- Nouvelle tête
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Re: Je suis retourné à Samara 16 Illustration Brase d'Anjou
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Ric le Gaumais- Tête connue
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Brase d'Anjou- Vieux de la vieille
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william1941- Poète, barde, troubadour...
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