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Je suis retourné à Samara 8 Illustration Brase d'Anjou
4 participants
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Je suis retourné à Samara 8 Illustration Brase d'Anjou
Mercredi 28 septembre 1983
Tout en prenant un petit déjeuner grand luxe, argenterie, porcelaine et tout, je pense à la situation.
Qu’ai-je à faire avec un attaché de défense de l’armée de l’air ? Même adjoint.
Pourquoi des achats pour l’installation d’une base-vie devrait impliquer de tels mystères ?
Plus je gamberge et plus j’ai l’impression d’avoir un papillon sur l’épaule.
Totoche, au secours, je suis perdu. Je n’arrive pas à raisonner logiquement.
Je décide d’arrêter la boîte à idées et de me concentrer sur ma bouffarde.
Je m’installe sur le balcon, laisse passer le temps, la pipe au bec, les yeux dans le vide.
Huit heures et demie
- Votre voiture est arrivée Monsieur (Oui en français. On est au Ritz. On s’informe sur les clients)
- Merci.
J’éteins Totoche, la vide, la pose sur le bureau dans le cendrier en marbre (oui ! oui ! oui !).
Je prends la serviette et vais rejoindre la voiture.
Le consulat est dans un immeuble du centre-ville. Nous descendons au parking. L’ascenseur accède directement à l’intérieur du consulat. De Lavière est à l’accueil.
Nous nous serrons la main. Un dédale de couloir jusqu’à une porte. Il sort une clé de sa poche, ouvre.
Un bureau, un téléphone, trois chaises, une armoire métallique. Aucune fenêtre.
Il s’assoit derrière le bureau, m’invite à m’installer en face de lui.
S’il espère que je vais parler il se trompe. J’ai décidé de le laisser venir.
- Un café ?
- Avec plaisir
Il prend le téléphone : « deux cafés. »
Nous restons silencieux. Petit coup discret à la porte, « Oui ». Une jeune femme entre avec deux cafés sur un plateau. Elle les pose sur le bureau. Ressort en emportant le plateau. Ferme la porte derrière elle.
« - Bien…
Je ne réagis pas. Il a l’air de ne pas savoir comment me vendre son histoire.
- Pour des raisons… d’efficacité, une collaboration technique a été mise sur pied entre le Ministère de la Défense et votre société. Votre Directeur Général pour l’Iraq a proposé votre nom comme étant la personne la plus… apte à remplir la mission que nous envisagions de lui confier.
L’enquête des RG a confirmé la possibilité de ce choix.
Avant d’en dire plus j’ai besoin que vous me confirmiez votre accord pour poursuivre cette collaboration »
Une collaboration technique. La personne la plus apte. Une enquête des RG. Dans quoi je suis embarqué ?
Son regard a changé.
Mon ton aussi !
« Ecoutez, qu’attendez-vous de moi exactement ? Depuis deux jours j’ai l’impression de vivre dans un mauvais roman d’espionnage. Je suis passé par Amsterdam pour venir à Atlanta. J’ai changé deux fois de nom (et trois si je compte Jacques). A la fin allez-vous me dire de quoi il s’agit ?
- Vous aurez toutes les informations dont vous aurez besoin. Je ne vous dirai rien sur l’ensemble de l’opération. Etes-vous d’accord pour nous apporter votre aide ? »
Il me regarde droit dans les yeux et ce n’est plus le ‘Lavière’ traité avec condescendance par le Consul Général qui est devant moi.
C’est quelqu’un qui assume des responsabilités.
Il voit que je suis hésitant.
« - Mon vrai nom n’est pas de Lavière. Cela, ici, même le Consul Général l’ignore.
Je suis colonel dans l‘armée de l’air française, en charge de négociations avec le gouvernement Irakien.
Voilà. Je n’irai plus loin que si vous me signifiez votre accord formel pour continuer votre mission. »
Il se rend compte que je suis préoccupé par la dimension dans laquelle il m’a propulsé.
J’avale ma salive, bois une gorgée de café et je m’entends répondre :
- D’accord.
- Bien. Votre mission est un leurre. Vous devez faire toutes les démarches en prenant les précautions nécessaires pour que l’on ne puisse pas deviner ce que vous faites.
- ???...Mais je ne sais pas en quoi consiste ce genre de précaution.
- Dans votre cas rien de compliqué :
Premièrement vous ne faites jamais arrêter votre taxi à l’adresse prévue. Toujours dans une rue adjacente où un bloc plus loin ou avant.
Deuxièmement regardez toujours autour de vous comme si vous craigniez d’être suivi. Vous ne verrez certainement personne mais c’est sans importance. Ceux qui vous surveilleront s’arrangeront après pour savoir ce que vous êtes venu commander.
- Mais alors à quoi sert tout ce cinéma ?
- A rendre votre rôle de leurre crédible. Vous êtes en mission confidentielle pour le gouvernement français et vous ne voulez pas que l’on sache où vous vous rendez.
- Je ne comprends toujours pas puisque vous dites que cela n’a pas d’importance.
- Ce qui est important c’est qu’ils croient au caractère secret de votre activité et aillent se renseigner après votre passage pour savoir ce que vous avez commandé, pour qui vous l’avez commandé, où vous voulez le faire livrer.
C’est cela le vrai leurre.
Nous avons recours à quelqu’un comme vous parce que c’est votre métier de passer des commandes importantes et que donc vous le ferez avec naturel. Pour eux vous serez crédible
- Excusez-moi mais il se pourrait qu’il leur prenne fantaisie de m’enlever pour me questionner sur ce que je fais exactement. Et là, franchement, je ne suis pas très emballé. Chacun son job. Et le mien ce n’est pas espion de la république.
- Aucun risque à ce niveau. Ils vont se contenter de vous suivre et de se renseigner derrière vous. C’est beaucoup plus simple, aussi efficace et, penseront-ils, inaperçu.
C’est clair ?
- Je crois, oui, Je vais faire la chèvre ? (Pas me prendre pour une buse). Vous êtes sûr que c’est sans risque (je ne me sens pas l’âme d’un héros de roman d’espionnage. Même si cette affaire y ressemble férocement) ?
- Certain. Nous ne demandons jamais à quelqu’un qui n’est pas des services de courir le moindre risque. Ce n’est pas votre rôle.
- Je peux vous poser une question ?
- Allez-y
- c’est qui ‘’ils’’
- Cela fait partie des choses que vous n’avez pas besoin de savoir. L’exécution de votre mission n’en dépend pas.
Ben voyons !
- Un autre café ?
Il a bu le sien. Il manque une gorgée au mien mais il est froid
- Avec plaisir »
Il téléphone. Deux cafés arrivent comme précédemment.
Je regarde ce type devant moi. La quarantaine, mince, plutôt grand, lunettes rondes cerclées dorées, le regard direct, l’attitude un peu raide des militaires. Finalement un gars sérieux et sympathique…. qui est en train de m’embarquer dans une histoire de fou furieux.
« - Bien. Voyons vos démarches. Vous avez le dossier ?
- Oui
- Voyons cela. »
J’ouvre la serviette, sort le dossier, le pose sur le bureau.
Il le prend, le remet dans la serviette et la pose au sol à côté de sa chaise.
Il ouvre un tiroir, en sort un porte-document noir .
« - Ceci est le dossier que vous allez utiliser pour vos commandes.
Rentrez à l’hôtel et prenez- en connaissance.
Il serait souhaitable que vous puissiez commencer demain.
Vous avez dû recevoir une provision pour vos frais ?
- J’ai cinq mille dollars. (Je ne lui parle pas des cinquante donnés au porteur)
-C’est parfait. Vous devriez pouvoir faire face à vos différentes dépenses.
En cas de nécessité vous pouvez me joindre par téléphone. Appelez le Consulat Général, demandez le poste 99. Jusqu’à seize heures.
A partir de demain vous pourrez appeler ce numéro H24
Il me tend une carte de visite sur laquelle figure uniquement un numéro de téléphone. Indicatif 202.
Le chauffeur va vous reconduire. Votre séjour au Ritz Carlton est réservé et sera facturé aux services jusqu’à votre départ.
Des questions ?
J’en ai au moins dix mille.
- Je vais prendre connaissance du dossier et il est probable que je vous rappelle pour avoir des précisions ou des éclaircissements.
- Bien entendu. »
Il décroche le téléphone: « la voiture ».
Il se lève: « allons-y ».
Je prends le porte-document et le suis jusqu’à l’ascenseur. Le chauffeur est là.
« - Au revoir.
- Au revoir. Merci »
Retour à l’hôtel. Il est dix heures quarante-cinq.
Je rejoins ma suite. M’asseois au bureau.
Je regarde Totoche. Elle m’a attendu. Toujours à la même place. Patiente. Peut-être qu’elle s’en fout. Non. On se connait trop bien. Je suis sûr qu’elle compatit.
PUT…..
Tout en prenant un petit déjeuner grand luxe, argenterie, porcelaine et tout, je pense à la situation.
Qu’ai-je à faire avec un attaché de défense de l’armée de l’air ? Même adjoint.
Pourquoi des achats pour l’installation d’une base-vie devrait impliquer de tels mystères ?
Plus je gamberge et plus j’ai l’impression d’avoir un papillon sur l’épaule.
Totoche, au secours, je suis perdu. Je n’arrive pas à raisonner logiquement.
Je décide d’arrêter la boîte à idées et de me concentrer sur ma bouffarde.
Je m’installe sur le balcon, laisse passer le temps, la pipe au bec, les yeux dans le vide.
Huit heures et demie
- Votre voiture est arrivée Monsieur (Oui en français. On est au Ritz. On s’informe sur les clients)
- Merci.
J’éteins Totoche, la vide, la pose sur le bureau dans le cendrier en marbre (oui ! oui ! oui !).
Je prends la serviette et vais rejoindre la voiture.
Le consulat est dans un immeuble du centre-ville. Nous descendons au parking. L’ascenseur accède directement à l’intérieur du consulat. De Lavière est à l’accueil.
Nous nous serrons la main. Un dédale de couloir jusqu’à une porte. Il sort une clé de sa poche, ouvre.
Un bureau, un téléphone, trois chaises, une armoire métallique. Aucune fenêtre.
Il s’assoit derrière le bureau, m’invite à m’installer en face de lui.
S’il espère que je vais parler il se trompe. J’ai décidé de le laisser venir.
- Un café ?
- Avec plaisir
Il prend le téléphone : « deux cafés. »
Nous restons silencieux. Petit coup discret à la porte, « Oui ». Une jeune femme entre avec deux cafés sur un plateau. Elle les pose sur le bureau. Ressort en emportant le plateau. Ferme la porte derrière elle.
« - Bien…
Je ne réagis pas. Il a l’air de ne pas savoir comment me vendre son histoire.
- Pour des raisons… d’efficacité, une collaboration technique a été mise sur pied entre le Ministère de la Défense et votre société. Votre Directeur Général pour l’Iraq a proposé votre nom comme étant la personne la plus… apte à remplir la mission que nous envisagions de lui confier.
L’enquête des RG a confirmé la possibilité de ce choix.
Avant d’en dire plus j’ai besoin que vous me confirmiez votre accord pour poursuivre cette collaboration »
Une collaboration technique. La personne la plus apte. Une enquête des RG. Dans quoi je suis embarqué ?
Son regard a changé.
Mon ton aussi !
« Ecoutez, qu’attendez-vous de moi exactement ? Depuis deux jours j’ai l’impression de vivre dans un mauvais roman d’espionnage. Je suis passé par Amsterdam pour venir à Atlanta. J’ai changé deux fois de nom (et trois si je compte Jacques). A la fin allez-vous me dire de quoi il s’agit ?
- Vous aurez toutes les informations dont vous aurez besoin. Je ne vous dirai rien sur l’ensemble de l’opération. Etes-vous d’accord pour nous apporter votre aide ? »
Il me regarde droit dans les yeux et ce n’est plus le ‘Lavière’ traité avec condescendance par le Consul Général qui est devant moi.
C’est quelqu’un qui assume des responsabilités.
Il voit que je suis hésitant.
« - Mon vrai nom n’est pas de Lavière. Cela, ici, même le Consul Général l’ignore.
Je suis colonel dans l‘armée de l’air française, en charge de négociations avec le gouvernement Irakien.
Voilà. Je n’irai plus loin que si vous me signifiez votre accord formel pour continuer votre mission. »
Il se rend compte que je suis préoccupé par la dimension dans laquelle il m’a propulsé.
J’avale ma salive, bois une gorgée de café et je m’entends répondre :
- D’accord.
- Bien. Votre mission est un leurre. Vous devez faire toutes les démarches en prenant les précautions nécessaires pour que l’on ne puisse pas deviner ce que vous faites.
- ???...Mais je ne sais pas en quoi consiste ce genre de précaution.
- Dans votre cas rien de compliqué :
Premièrement vous ne faites jamais arrêter votre taxi à l’adresse prévue. Toujours dans une rue adjacente où un bloc plus loin ou avant.
Deuxièmement regardez toujours autour de vous comme si vous craigniez d’être suivi. Vous ne verrez certainement personne mais c’est sans importance. Ceux qui vous surveilleront s’arrangeront après pour savoir ce que vous êtes venu commander.
- Mais alors à quoi sert tout ce cinéma ?
- A rendre votre rôle de leurre crédible. Vous êtes en mission confidentielle pour le gouvernement français et vous ne voulez pas que l’on sache où vous vous rendez.
- Je ne comprends toujours pas puisque vous dites que cela n’a pas d’importance.
- Ce qui est important c’est qu’ils croient au caractère secret de votre activité et aillent se renseigner après votre passage pour savoir ce que vous avez commandé, pour qui vous l’avez commandé, où vous voulez le faire livrer.
C’est cela le vrai leurre.
Nous avons recours à quelqu’un comme vous parce que c’est votre métier de passer des commandes importantes et que donc vous le ferez avec naturel. Pour eux vous serez crédible
- Excusez-moi mais il se pourrait qu’il leur prenne fantaisie de m’enlever pour me questionner sur ce que je fais exactement. Et là, franchement, je ne suis pas très emballé. Chacun son job. Et le mien ce n’est pas espion de la république.
- Aucun risque à ce niveau. Ils vont se contenter de vous suivre et de se renseigner derrière vous. C’est beaucoup plus simple, aussi efficace et, penseront-ils, inaperçu.
C’est clair ?
- Je crois, oui, Je vais faire la chèvre ? (Pas me prendre pour une buse). Vous êtes sûr que c’est sans risque (je ne me sens pas l’âme d’un héros de roman d’espionnage. Même si cette affaire y ressemble férocement) ?
- Certain. Nous ne demandons jamais à quelqu’un qui n’est pas des services de courir le moindre risque. Ce n’est pas votre rôle.
- Je peux vous poser une question ?
- Allez-y
- c’est qui ‘’ils’’
- Cela fait partie des choses que vous n’avez pas besoin de savoir. L’exécution de votre mission n’en dépend pas.
Ben voyons !
- Un autre café ?
Il a bu le sien. Il manque une gorgée au mien mais il est froid
- Avec plaisir »
Il téléphone. Deux cafés arrivent comme précédemment.
Je regarde ce type devant moi. La quarantaine, mince, plutôt grand, lunettes rondes cerclées dorées, le regard direct, l’attitude un peu raide des militaires. Finalement un gars sérieux et sympathique…. qui est en train de m’embarquer dans une histoire de fou furieux.
« - Bien. Voyons vos démarches. Vous avez le dossier ?
- Oui
- Voyons cela. »
J’ouvre la serviette, sort le dossier, le pose sur le bureau.
Il le prend, le remet dans la serviette et la pose au sol à côté de sa chaise.
Il ouvre un tiroir, en sort un porte-document noir .
« - Ceci est le dossier que vous allez utiliser pour vos commandes.
Rentrez à l’hôtel et prenez- en connaissance.
Il serait souhaitable que vous puissiez commencer demain.
Vous avez dû recevoir une provision pour vos frais ?
- J’ai cinq mille dollars. (Je ne lui parle pas des cinquante donnés au porteur)
-C’est parfait. Vous devriez pouvoir faire face à vos différentes dépenses.
En cas de nécessité vous pouvez me joindre par téléphone. Appelez le Consulat Général, demandez le poste 99. Jusqu’à seize heures.
A partir de demain vous pourrez appeler ce numéro H24
Il me tend une carte de visite sur laquelle figure uniquement un numéro de téléphone. Indicatif 202.
Le chauffeur va vous reconduire. Votre séjour au Ritz Carlton est réservé et sera facturé aux services jusqu’à votre départ.
Des questions ?
J’en ai au moins dix mille.
- Je vais prendre connaissance du dossier et il est probable que je vous rappelle pour avoir des précisions ou des éclaircissements.
- Bien entendu. »
Il décroche le téléphone: « la voiture ».
Il se lève: « allons-y ».
Je prends le porte-document et le suis jusqu’à l’ascenseur. Le chauffeur est là.
« - Au revoir.
- Au revoir. Merci »
Retour à l’hôtel. Il est dix heures quarante-cinq.
Je rejoins ma suite. M’asseois au bureau.
Je regarde Totoche. Elle m’a attendu. Toujours à la même place. Patiente. Peut-être qu’elle s’en fout. Non. On se connait trop bien. Je suis sûr qu’elle compatit.
PUT…..
Dernière édition par william1941 le Ven 4 Sep 2020 - 19:38, édité 1 fois
william1941- Poète, barde, troubadour...
- Messages : 6874
Date d'inscription : 03/04/2020
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Localisation : Garrigue et méditerranée. studio à Paris
Re: Je suis retourné à Samara 8 Illustration Brase d'Anjou
Je ne peux décrocher de ton récit, vivement demain pour la suite.
____________________________________________________________________________________________________________________________
Arnaud
Pétuneur Amateur
Arnaud57- Nouvelle tête
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Localisation : Thionville
Re: Je suis retourné à Samara 8 Illustration Brase d'Anjou
Bien ....
Le genre de manip' qui aurait pu être évoquée dans un entrefilet du canard enchaîné ....
Le genre de manip' qui aurait pu être évoquée dans un entrefilet du canard enchaîné ....
Invité- Invité
Re: Je suis retourné à Samara 8 Illustration Brase d'Anjou
Arnaud57 a écrit:Je ne peux décrocher de ton récit, vivement demain pour la suite.
+ 1
____________________________________________________________________________________________________________________________
C'est
parce que la vitesse de la lumière est supérieure à celle du son, que tant de
gens paraissent brillants avant d'avoir l'air cons !
loulou- Villageois
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Date d'inscription : 31/12/2019
Age : 75
Localisation : normandie
Brase d'Anjou- Vieux de la vieille
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william1941- Poète, barde, troubadour...
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Brase d'Anjou- Vieux de la vieille
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