Présentation

Déjà bon signe, ma suggestion a trouvé grâce à tes yeux, ce qui me omble de plaisir  

Bepipe a écrit:Mais détendez vous  , prenez une bonne bouffarde!

Merci d'animer ma présentation.

Comme promis je me suis rendu chez mon civetier cet après-midi et malheureusement rien de transcendant… J'ai dû sortir la longue liste, pour y trouver du Peterson Irish OAK. Il peut me commander ce que je souhaite chez eux, le reste est à mettre aux oubliettes, ou alors il va falloir que je trouve un bon distributeur Outre-Rhin.

Passons aux choses sérieuses et à mes débuts :

Depuis que j'achète mes cigares à Mulhouse, je suis obligé de passer devant la vitrine des pipes avant de me trouver face à la cave à cigares. 
Chaque fois que je suis passé devant cette vitrine, je la contemplais du coin de l'oeil, d'un regard furtif, sans pouvoir trop m'arrêter dessus, histoire qu'on ne me repère pas, et qu'on ne me prenne pas pour un fou, l'objet étant assez insolite à mes yeux. Oui j'ai toujours beaucoup de mal avec l'image que renvoie le cigare et la pipe, "jeune", on a l'impression d'être épié et incompris, tout du moins c'est mon ressenti.
Le cigare est quelque chose que j'exhibe très peu, et je l'imagine encore moins pour la pipe, même à des personnes plus proches. J'ai d'ailleurs été étonné de l'accueil fait par mon amie qui m'a rassurée et qui me comprend. Il faut dire qu'elle n'est pas dérangée par ces odeurs, et qu'elle les apprécient même un peu si j'en abuse pas.

En déambulant le matin sur le trajet du travail, peut-être en ayant retrouvé un peu d'odorat et de goût du fait de mon arrêt des tueuses, j'ai commencé à sentir de nouveau les odeurs de tabac des passants. De plus, mon amie étant fumeuse, je l'enviais toujours quand elle allait se bruler une tueuse mais je n'en voulais point, le divorce avait eu lieu.
Je rêvais alors de mes cigares, avec la contrainte de ne pas pouvoir me faire plaisir, le temps d'en profiter me manquant.
Toujours dans mon rêve, je refaisais le parcours à ma civette allant chercher mon Partagas D4 qui m'offrirait un moment de douceur. Le parcours me revenant en tête, la vitrine à pipes m'apparaît soudainement, accompagné de mon magnifique tableau. Ce fût la révélation!

La suite demain, j'étais parti pour vous expliquer ma première expérience, mais je me suis égaré, emporté par ma bouffarde bourrée d'Irish OAK, bien plus à mon goût. Quel bonheur!

Bonne nuit!

Et ce bonheur ne va aller qu'en augmentant, contrairement à "celui" proposé par la tueuse comme tu la nommes si bien...

Oublie l'image que tu as de la pipe et du cigare au regard des autres.
Moi je trouve qu'on a la classe  , et puis quel bonheur que de fumer ces doux nectares. Cela ne vaudrai t'il pas tout l'Or du monde? en plus de connaitre l'ALNB.
Alors prend tout le plaisir qu'il y a à prendre, et bouffardons.
PS: ton enveloppe part cette apres midi.

Bienvenue parmi nous. 

Les habitants ("locataires") de la Noble Bouffarde comprennent rapidement que, tout autant que nos bouffardes, notre forum est un espace vivant et adorable qu'on met difficilement, trèèèèèèèèès difficilement de côté, quelles que soient les raisons qui nous animent.  

Merci Margotin,

Tu es au top Arturo Fuente.
Pour le cigare j'avais passé le cap, et je me laissais parfois aller à des petits robustos Dominicains en terrasse.

Le Passeur, cette fois, je vais tenter de ne pas m'égarer, mais comme tu le dis, ici on se sent bien, et je prends beaucoup de plaisir à parcourir le forum, j'espère que vous en prendrez également en lisant ma petite aventure, j'ai déjà ma petite idée, je vous laisse découvrir :

…
Après quelques conseils de mon civetier mais n'en faisant un peu qu'à ma tête, je choisi donc un classique, Chacom, bruyère, demi courbe, tuyau ébonite, bague acier, sans filtre, tout du moins avec le condenseur avec boule que j'ai retiré dès le départ suite aux avis trouvés sur ALNB.
Kentucky Bird, bourre-pipe tchèque, tiges grattons (déjà prêt à nettoyer avant d'avoir fumé ma première bouffarde) et briquet spéciale pipe en main, je m'installe au fond du canapé pour étudier un peu ma bouffarde et ses accessoires en même temps qu'un nouveau et dernier visionnage des bons conseils pour débutants.

Bien qu'un peu perdu et seul dans cette aventure, je décide de me lancer.
On émiette le tabac, petites pincées, on tapote pour que ça rentre en douceur, je ne force pas, doigt d'enfant, doigt de femme, doigt d'homme, si je mens je vais en… stoooooop! mais où me suis-je aventuré! Sont-ils tous nets   ? De toutes façons, je n'ai pas d'enfant sous la main   et de ce fait encore moins de paille! Ces trois derniers points ne m'éclairent pas du tout  ,  car si je fais doigt d'homme je vais me retrouver avec une pierre au fond du bol, m'enfin je m'arrête donc à doigt d'enfant (petit doigt du coup) …
Ma pipe n'étant pas pré-culottée, je fais attention à ne pas remplir au delà d'un tiers. Un peu de tabac "lâche" jeté au dessus pour un meilleur allumage et c'est partit!

La bouffarde en bouche et un peu inquiet, la peur de brûler mon bol, je donne une première et courte impulsion sur mon briquet braqué en direction de mon tabac. Trop optimiste les premières fois, je recommence l'opération jusqu'à obtenir ce que j'appellerai une pipe allumée (à prendre dans les deux sens du terme   ). Youhou, de la fumée sort de ma bouche   , mais le foyer me semble rouge qu'à certains endroits   … Je ne vois rien de ce qu'il se passe dans le bol au moment de tirer sur la bouffarde, il m'est donc difficile de juger.

Je continue avec précaution, et ne m'emballe pas sur la bouffarde, toujours de crainte de causer l'irréparable, mais :
- "que diable c'est quoi ce tabac? C'est de l'eau? C'est moi? Le tabac est trop humide? Et le bourre pipe, tu t'en sers pas du bourre-pipe? C'est ma bouffarde qui n'est pas assez allumée? C'est tiède, chaud ou bouillant là? Au punaise, je savais que j'avais des points rouges à l'allumage, je vais tout cramer! Mais tasse, viiiiiiiiite; ouf; heureusement que j'ai lu leurs conseils! Maintenant j'ai trop tassé? Pas assez? Un petit coup de briquet?    Mais oui, c'est une cheminée ce truc, souffle donc dans le tuyau! $&#@^=<' ay caramba, la cendre qui vole! C'est ça la pipe? Tiens pas de goût de bois!? Etonnant   !"

Je décide malgré tout de continuer, de toutes façons j'y connais toujours rien, je suis toujours seul  et ça ne se fera pas par magie cette nuit, puis j'ai lu qu'il fallait bien fumer jusqu'au dernier brin de tabac! Dites, les pros, avouez, c'est une présélection naturelle ça? Qu'a cela ne tienne, même pas peur!

- "Je dois rallumer ou ce n'est que de la cendre? Arggggg un point rouge! Oulaaaaaa!!!! Mais alors, c'est qu'il y a encore du tabac? Qu'est ce qu'il se passe si je ne vais pas jusqu'au bout? C'est peut-être de la fumée qui vient du bois!".

Bien qu'étant sûr de RIEN DU TOUT, je sentais que ma bouffarde n'était pas en danger à ce rythme. Je ne me crame pas la bouche, la fumée n'est pas trop chaude, et je la tiens toujours dans la main   .
Le but premier étant de culotter ma pipe sans l'abimer, j'ai préféré y aller en douceur quitte à en oublier le plaisir olfactif. En revanche le plaisir de découvrir ce nouvel horizon du fait de sa complexité est à son zénith! Je pense déjà à demain…

Finalement je suis arrivé au bout de cette bouffarde tout en douceur, contrairement à ce que mon récit pourrait le laisser paraître, vous comprendrez que je me suis moi-même amusé de ma situation!
 
Après l'avoir vidée, je vérifie le bol, RAS, c'est parfait, mais qu'est ce qu'il a pu s'en passer des choses dans ma tête pendant tout ce temps!

Bord**, c'est un vrai ravissement à lire et ça fait remonter les souvenirs à la surface. 
Je suis convaincu que plusieurs moins vieux que moi y verront des mots posés sur leurs propres sensations / expériences qu'ils ont été incapables de décrire...   
Allez, Bepipe, continue, j'adore. En octobre pour quelques jours, nous serons voisins ou peu s'en faut. J'espère qu'on pourra s'en griller une ensemble

Superbe Bepipe !
Et ne t'inquiète pas, tu auras ce ressenti même lorsque tu seras devenu un vieux briscard de la bouffarde…  Mais c'est aussi cela qui en fait tout l'intérêt et tout le charme...

ne t inquiète pas,il n y a pas de sélection naturelle,ça vient avec le temps,je me suis posé les mêmes questions,et au fil du temps tu arriveras a juger par toi même 

Super récit, quel plaisir de te lire  Et, étant un tout jeune fumeur de pipe (dans les deux sens du terme), je te comprends tout à fait : que ce soit pour les premiers essais qui soulèvent tellement d'interrogation, ou pour le fait qu'étant jeune, il est des fois difficile d'assumer sa bouffarde en publique, voire avec ses proches ^^

Merci beaucoup pour ces quelques lignes riches en style et en émotion

J'aime le style aussi mon cher Bepipe, un plaisir à lire, une aventure qui me plonge au final pas si loin en arrière !

Un grand merci, ça me donne énormément envie de recommencer! 

J'ai encore une petite idée derrière la tête, qui, si j'arrive à la mettre sur papier, devrait vous plaire tout autant, mais il faut que ça mûrisse. Pour ça, il faut que je me laisse encore un peu de temps pour prendre ma bouffarde en main!
L'apprentissage étant le plus pittoresque, je glisserai peut-être vers un autre registre pour; l'affinage. Autant dire j'ai la pression  , mais je suis moins timide derrière un écran   !

J'avais écrit une ligne sur le fait que certains se reconnaitront et puis je l'ai supprimé par crainte d'influencer les commentaires. Bien m'en a pris, c'est venu quand même, j'étais certains de ne pas être le seul dans ce cas!

Je comprends déjà celles et ceux qui ont un nombre important de bouffardes. Voulant avoir un temps de fumage de l'ordre de vingt à trente minutes, la prochaine sera avec un foyer bien plus petit.

Pour ta proposition Le Passeur ce sera avec grand plaisir!

bah bah bah,il ne faut pas te mettre la pression,prend le temps qu il faut,on est entre ami ici,personne ne te jugera,et n aie pas peur de recommencer tes écrits,on aime bien lire tout le monde 

Pas de soucis Kenshiro, ne t'inquiète pas, c'est une pression positive qui me donne du plaisir, incomparable à celle du bureau, je le prends comme un jeu!
Avec moi il ne faut pas tout prendre au pied de la lettre sinon on n'est pas sorti de l'auberge   .

En ce moment je prends également beaucoup de plaisir à vous lire, c'est une vraie mine d'infos ici!
Une bien beau manoir.

Bepipe a écrit:Pas de soucis Kenshiro, ne t'inquiète pas, c'est une pression positive qui me donne du plaisir, incomparable à celle du bureau, je le prends comme un jeu!
Avec moi il ne faut pas tout prendre au pied de la lettre sinon on n'est pas sorti de l'auberge   .

En ce moment je prends également beaucoup de plaisir à vous lire, c'est une vraie mine d'infos ici!
Une bien beau manoir.

une fois qu on y est bien,pourquoi sortir de l auberge   surtout par des temps pareil  
et c est au pieds de la lettre qu on voit mieux celle-ci 

Bepipe a écrit:
Pour compléter ma présentation, je suis originaire de la Drôme, vers Valence,

Eh  bien nous serions voisins aujourd'hui

Sois le bienvenu sur la Noble bouffarde.

bonnes volutes  

Drak Poy a écrit:J'aime le style aussi mon cher Bepipe, un plaisir à lire, une aventure qui me plonge au final pas si loin en arrière !

J'ai relu tout le fil avec un grand plaisir. Ton style est agréable, frais spontané et si vivant que ça ravive bien des souvenirs !
Bienvenue avec un peu de retard.

Merci Ma beutche, tout le plaisir est pour moi.
 
Merci également à Arturo Fuento, j’ai bien reçu ton colis, un seul mot : MAGNIFIQUE !
J’ai fait une petite photo de mon petit attirail avec la présence de tes tabacs, que je posterai dans la semaine.
Je me suis déjà fait un petit bol de Nightcap, tout simplement sublime, une fraicheur en bouche incroyable, il faut que je fume un deuxième bol pour identifier cette saveur, mais dans un premier dans ça me fait vraiment penser à une épice qu’on ajoute dans les plats, voir même et je vais vous surprendre à de la viande de grison bien sèche! Il est d’une longueur en bouche incroyable, un délice, je suis impatient de découvrir la suite mais je prends mon temps et savoure ces instants de découverte !
 
Justement, comme promis voici la suite de mes découvertes :
 
…
Après ma première bouffarde consumée (fumer n'étant dans ce contexte pas le verbe approprié), j'ai été comme happé par cet objet, et profitant de ma bouffarde, je brûlais tout à coup du désir de dompter cet objet, qui dans mon esprit se trouvait encore à l'état de cheminé.
 
Suite à ce premier contact, je parcours encore et encore le manoir, je revisionne les bons conseils vidéos épiant chaque faits et gestes des fumeurs confirmés.
 
Je refume une fois, deux foix, trois fois… avec plus de succès mais dans une inconstance déconcertante. Mes sens sont bien présents, ils m'alertent même, mais je ne suis pas à leur écoute, comme un gosse délaissant la notice de son nouveau jouet, trop pressé de le découvrir.
 
Je touchais à tous les paramètres sans rien y comprendre. Rappelez vous le paragraphe : "…c'est froid, chaud ou bouillant là?...", je me retrouvais parfois à ne plus savoir que faire d’autre que de rallumer et rallumer encore.
 
La première grosse erreur a été de fumer avec deux tabacs, le Kentucky Bird et le Royal Oak. Vous m'avez pourtant prévenu, mais je pensais que vous parliez saveurs et je ne pensais pas les tabacs si différents à fumer. Encore une fois je n'étais pas à l'écoute.
 
Perdant de cette première manche, mais pas défaitiste, je me relance encore plus vaillant à la conquête des secrets de ma cheminée.
Je laisse tomber le Kentucky, de toutes façons j'ai l'impression de fumer de l'eau, pas que ce soit désagréable, mais il me faut une présence le soir, pas un frêle parfum de rose flottant délicatement dans les airs… (je vous laisse imaginer la suite). Peut-être que l'apprécierais-je le matin?
A ce sujet je suis étonné, car j'apprécie toujours de fumer la chicha chez un ami avec pourtant des tabacs très parfumés et "artificiels". Peut-être que le Kentucky navigue en eaux troubles, il n'est pas assez puissant ou alors pas assez fruité à mes yeux.
 
Je continue mes découvertes, un bol, deux bols, trois bols… plus tard, je fais toujours des erreurs mais cette fois j'écoute et parfois je persiste volontairement dans mes erreurs, au lieu de tirer d'avantage, de tasser en même temps, de tasser sans tirer, je préfère me concentrer sur un seul de ces paramètres et observer l'évolution de ma pipe. Si j'échoue c'est qu'il fallait que j'intervienne ailleurs, si je réussi c'est que je suis sur le bon chemin.
 
Un de mes plus gros défaut était de ne pas assez tasser pendant le fumage, j'étais obligé de tirer de plus en plus fort et souvent sur ma pipe pour attiser mon foyer, mais passé un moment, j'avais beau m'époumoner, cela ne suffisait plus, le foyer s'écroulait quand même et j'étais obligé de rallumer.
 
Plus fort de mes erreurs, je continue toujours avec la même démarche. Petit à petit j’arrive à dompter ma pipe, mais elle reste à l’heure d’aujourd’hui encore bien sauvage.
Je m’aperçois aussi que l’humidité de mon tabac doit y être pour quelque chose, mais là, je navigue, impuissant, au gré de l’évolution de ma boite de Royal Oak.
…
 
 
En dehors de ça, j’ai une petite déception concernant ma Chacom, peut-être un défaut de fabrication au niveau du système, mais je vous montrerez ça en image. Rien de grave, seulement il est difficile de passer un graton jusqu’au bol sans enlever le tuyau…

encore un beau,récit qui me rappel les premiers moments de fumage,moi aussi j utilisait très peu le tasse braise au début,et maintenant je l utilise 'machinalement',à tel ou tel moment en cours de fumage hop un petit coup de tasse braise et on poursuit le fumage et en effet tous les tabacs ont des différences à tout point de vue,plus tu fumeras plus tu t en rendra compte 

Merci Kenshiro,

Oui, j'ai vraiment le sentiment de m'améliorer bouffarde après bouffarde, je deviens plus réceptif et sensible à tous les signaux qu'elle me renvoie.

Bepipe a écrit:Merci Kenshiro,

Oui, j'ai vraiment le sentiment de m'améliorer bouffarde après bouffarde, je deviens plus réceptif et sensible à tous les signaux qu'elle me renvoie.

Et c'est justement ça le bonheur de fumer la pipe : la découverte, l'échange.
C'est un peu comme avec les gens;  personne ne réagit de la même façon, chacun a son identité, son approche des choses qui lui est propre. Des fois on croît avoir fait le tour d'une personne, bien la connaître et pof ici ou là une réaction qui nous étonne. 
Avec la pipe, tu l'as dit bien justement, il faut être à l'écoute, réceptif pour en apprécier toutes les nuances, subtilités et caractéristiques. 
Il m'est aussi arrivé de fumer distraitement, d'arriver à la fin d'un film et de ma pipe et de me dire, la palais un peu engourdi, la langue plus sensible, tiens je n'ai pas assez apprécié ce moment. 
Tout ça pour dire qu' il faudrait en prendre conscience et ne faire à la limite que cela; j'en ai pour exemple,  un rosé de Provence n'est jamais aussi bon que sur place en vacances, pourquoi ? parce que notre mental est libre des contraintes de la vie habituelle et on se concentre sur ce moment précis et du coup il est nettement meilleur que le reste de l'année chez soi !

Comme toujours, Bepipe, je prends plaisir à te lire, à revoir toutes les erreurs qu'on fait tous lors de l'apprentissage de notre art. C'est d'autant plus agréable que tu réussis à mettre des mots sur des sensations, des états d'âme, des constats que tous ne sont pas en mesure d'interpréter avec le mot juste. Ça me fait penser à mon toubib qui m'arrache toute parcelle d'info au sujet de mes malaises, se justifiant en prétextant que, "toi, avec ton métier, tu peux me décrire très précisément le type de douleur"...
Merci beaucoup  

Chaque "retour" de nos amis sur leur tabac demeure plaisant,
et on peu dire que les tiens Bebipe s'avèrent fort sympathique !  

Je redécouvre ce fil avec grand plaisir car c'est effectivement un vrai régal que de te lire mon cher Bepipe  

Mon Dieu ce que je peux me reconnaître dans tes propos et tes difficultés à dompter ta bouffarde ! Tu vois, tu n'es pas seul !