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Le piège 75 l'illlustration est de Brase d'Anjou
2 participants
Page 1 sur 1
Le piège 75 l'illlustration est de Brase d'Anjou
Brusquement le téléphone de Grindier sonne.
Elle manque s’étouffer avec son coca.
« Oui Laurmier
-…
- Attends, je te mets sur haut-parleur.
Le patron est avec moi
- La scientifique est partie.
- Pourquoi tu parles si doucement ?
- J’ai commencé la perquiz mais elle me suis comme un petit chien.
Là je suis aux toilettes. Elle a dû me lâcher un peu.
-Continue comme si tu ne t’apercevais de rien.
Repère mais ne touche à rien.
J’arrive.
- D’accord patron »
« Grindier, je file voir ce qu’il se passe.
Je crois qu’il va falloir secouer un peu cette dame.
Tu vas tenir le fort.
Gère les équipes qui sont sur La Brosse
- Mais c’est vous qu’ils vont appeler.
- Non parce que tu vas les appeler tout de suite pour leur dire que c’est toi qu’ils doivent contacter pour le moment.
Moi je file tout de suite »
Il prend la direction de la porte quand son téléphone sonne à son tour
« Tu m’attrapes au vol.
- …
- Rue des saussaies ou dans ton bureau ici ?
- …
- D’accord, mais pas avant ce soir peut-être un peu tard
-…
- Parce que j’ai trois marmites sur le feu et qui peuvent déborder à tout moment
Toute mon équipe est mobilisée et moi aussi.
- …
- Je comprends.
Ecoute, dès que les choses se seront éclaircies je te rappelle et on se voit pour faire le point.
- …
- Tiens ! tiens ! Comme c’est bizarre.
Je crois que tu apprécieras notre discussion ce soir. »
« Une voiture à l’entrée.
- …
- En ville.
Disons deux heures
-…
- Cinq minutes ? Merci ».
« Bonjour Commissaire.
- Bonjour Madame Kléber
- Il y a du nouveau ?
(Chapelier prend sa mine de bénédictin)
- On peut s’asseoir ? »
Sans attendre la réponse il se dirige vers le salon et s’affale dans un fauteuil.
Il remarque que Madame Kléber marque un temps d’hésitation avant d’abandonner les traces de Laurmier pour venir le rejoindre.
Elle s’asseoit à son tour en jetant des coups d’œil répétés vers Laurmier.
« il y a quelques chose qui ne va pas ?
- Non, non. Je crains qu’il…
- Ne vous en faites pas madame Kléber.
L’inspecteur Laurmier a l’habitude.
Et comme vous êtes là, s’il a besoin de vous pour manipuler quelque chose, il vous appellera. »
Laurmier, c’est arrêté et les regarde.
« Continue. Nous n’allons pas retenir Madame Kléber plus qu’il n’est nécessaire pour nous assurer qu’elle est bien en sécurité. »
Elle ne peut s’empêcher de le suivre des yeux.
« Je vous assure madame, il est très compétent et très prudent. Il ne manipulera rien de délicat sans faire appel à vous.
- Vous avez raison. Mais c’est plus fort que moi. Je suis inquiète.
- je vous comprends tout à fait.
(elle remarque que Laurmeir fait des clichés avec son cellulaire)
Je voudrais parler un peu avec vous de ce qu’il s’est passé.
- Vous faites des photos ?
- C’est une précaution.
Vous allez vouloir remettre les choses en ordre, c’est bien naturel.
Les photos nous permettront de réexaminer la scène autant de fois que de besoin pour essayer de comprendre exactement ce qu’il s’est passé.
Avez-vous remarqué des objets manquants ?
- A priori non.
Mais je n’ai pas vérifié les meubles, ni les placards et je ne suis pas encore allé dans ma chambre
(Chapelier sourit intérieurement : Laurmier n’a donc pas encore visité la chambre. Elle l'a suivi comme un toutou.)
- Je comprends tout à fait.
Nous ferons un tour ensemble tout à l’heure pour vérifier.
Nous allons laisser l’inspecteur Laurmier finir son travail.
(Pour endormir son éventuelle méfiance il ajoute:)
Lui recherche tout ce qui pourrait nous éclairer sur ce qu’il s’est passé.
Et sur ce que pouvait chercher votre visiteur
(Chapelier l’observe l’air benoît en disant cela. Il sait qu’il s’agissait d’une visiteuse.
Le savait-elle ou l’a-t-elle deviné)
- Vous avez confié des doubles de vos clefs à quelqu’un ?
(Elle le regarde figée. Elle hésite un bref instant avant de répondre.)
- Non. A Personne. Pourquoi cette question ?
- Parce qu’à première vue il ne semble pas que votre porte ait-été forcée.
(Elle reste tendue)
- Je ne comprends pas. Quelqu’un aurait un double de mes clefs à mon insu.
- Il semblerait que oui. Et vous comprendrez que du coup cela nous inquiète pour votre sécurité.
Si vous aviez confiés vous-même un trousseau à quelqu’un ce serait plus facile. Il suffirait d’interroger cette personne. Mais puisque ce n’est pas le cas…
(Il laisse sa phrase en suspens…
On peut presque entendre les grincements de son cerveau.)
- Ecoutez Commissaire, je ne tiens pas à ce que cela vienne sur la place publique et je voudrais pouvoir compter sur votre discrétion.
(Chapelier ne réponds pas tout de suite. Son visage se durcit et ses yeux deviennent des vrilles.
- Son nom ?
- Il est en déplacement depuis près d’un mois et ne rentrera pas avant une dizaine de jours.
- Son nom ?
Elle manque s’étouffer avec son coca.
« Oui Laurmier
-…
- Attends, je te mets sur haut-parleur.
Le patron est avec moi
- La scientifique est partie.
- Pourquoi tu parles si doucement ?
- J’ai commencé la perquiz mais elle me suis comme un petit chien.
Là je suis aux toilettes. Elle a dû me lâcher un peu.
-Continue comme si tu ne t’apercevais de rien.
Repère mais ne touche à rien.
J’arrive.
- D’accord patron »
« Grindier, je file voir ce qu’il se passe.
Je crois qu’il va falloir secouer un peu cette dame.
Tu vas tenir le fort.
Gère les équipes qui sont sur La Brosse
- Mais c’est vous qu’ils vont appeler.
- Non parce que tu vas les appeler tout de suite pour leur dire que c’est toi qu’ils doivent contacter pour le moment.
Moi je file tout de suite »
Il prend la direction de la porte quand son téléphone sonne à son tour
« Tu m’attrapes au vol.
- …
- Rue des saussaies ou dans ton bureau ici ?
- …
- D’accord, mais pas avant ce soir peut-être un peu tard
-…
- Parce que j’ai trois marmites sur le feu et qui peuvent déborder à tout moment
Toute mon équipe est mobilisée et moi aussi.
- …
- Je comprends.
Ecoute, dès que les choses se seront éclaircies je te rappelle et on se voit pour faire le point.
- …
- Tiens ! tiens ! Comme c’est bizarre.
Je crois que tu apprécieras notre discussion ce soir. »
« Une voiture à l’entrée.
- …
- En ville.
Disons deux heures
-…
- Cinq minutes ? Merci ».
« Bonjour Commissaire.
- Bonjour Madame Kléber
- Il y a du nouveau ?
(Chapelier prend sa mine de bénédictin)
- On peut s’asseoir ? »
Sans attendre la réponse il se dirige vers le salon et s’affale dans un fauteuil.
Il remarque que Madame Kléber marque un temps d’hésitation avant d’abandonner les traces de Laurmier pour venir le rejoindre.
Elle s’asseoit à son tour en jetant des coups d’œil répétés vers Laurmier.
« il y a quelques chose qui ne va pas ?
- Non, non. Je crains qu’il…
- Ne vous en faites pas madame Kléber.
L’inspecteur Laurmier a l’habitude.
Et comme vous êtes là, s’il a besoin de vous pour manipuler quelque chose, il vous appellera. »
Laurmier, c’est arrêté et les regarde.
« Continue. Nous n’allons pas retenir Madame Kléber plus qu’il n’est nécessaire pour nous assurer qu’elle est bien en sécurité. »
Elle ne peut s’empêcher de le suivre des yeux.
« Je vous assure madame, il est très compétent et très prudent. Il ne manipulera rien de délicat sans faire appel à vous.
- Vous avez raison. Mais c’est plus fort que moi. Je suis inquiète.
- je vous comprends tout à fait.
(elle remarque que Laurmeir fait des clichés avec son cellulaire)
Je voudrais parler un peu avec vous de ce qu’il s’est passé.
- Vous faites des photos ?
- C’est une précaution.
Vous allez vouloir remettre les choses en ordre, c’est bien naturel.
Les photos nous permettront de réexaminer la scène autant de fois que de besoin pour essayer de comprendre exactement ce qu’il s’est passé.
Avez-vous remarqué des objets manquants ?
- A priori non.
Mais je n’ai pas vérifié les meubles, ni les placards et je ne suis pas encore allé dans ma chambre
(Chapelier sourit intérieurement : Laurmier n’a donc pas encore visité la chambre. Elle l'a suivi comme un toutou.)
- Je comprends tout à fait.
Nous ferons un tour ensemble tout à l’heure pour vérifier.
Nous allons laisser l’inspecteur Laurmier finir son travail.
(Pour endormir son éventuelle méfiance il ajoute:)
Lui recherche tout ce qui pourrait nous éclairer sur ce qu’il s’est passé.
Et sur ce que pouvait chercher votre visiteur
(Chapelier l’observe l’air benoît en disant cela. Il sait qu’il s’agissait d’une visiteuse.
Le savait-elle ou l’a-t-elle deviné)
- Vous avez confié des doubles de vos clefs à quelqu’un ?
(Elle le regarde figée. Elle hésite un bref instant avant de répondre.)
- Non. A Personne. Pourquoi cette question ?
- Parce qu’à première vue il ne semble pas que votre porte ait-été forcée.
(Elle reste tendue)
- Je ne comprends pas. Quelqu’un aurait un double de mes clefs à mon insu.
- Il semblerait que oui. Et vous comprendrez que du coup cela nous inquiète pour votre sécurité.
Si vous aviez confiés vous-même un trousseau à quelqu’un ce serait plus facile. Il suffirait d’interroger cette personne. Mais puisque ce n’est pas le cas…
(Il laisse sa phrase en suspens…
On peut presque entendre les grincements de son cerveau.)
- Ecoutez Commissaire, je ne tiens pas à ce que cela vienne sur la place publique et je voudrais pouvoir compter sur votre discrétion.
(Chapelier ne réponds pas tout de suite. Son visage se durcit et ses yeux deviennent des vrilles.
- Son nom ?
- Il est en déplacement depuis près d’un mois et ne rentrera pas avant une dizaine de jours.
- Son nom ?
Dernière édition par william1941 le Sam 18 Mar 2023 - 20:01, édité 1 fois
william1941- Poète, barde, troubadour...
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