POUL WINSLOW OF DENMARK - Harlekin

sa manque de blast Apocalyptica...

El_Dos a écrit:sa manque de blast Apocalyptica...

Bon ben, suicide note part I et suicide note part II de Pantera! Il y'a du calme et après tornade mode rouleau compresseur!

là on se rapproche de quelque chose de plus dans mes goûts

Et pour se rapprocher des classiqueux 

La vidéo ne passe pas!  
J'aimerai bien voir ce que c'est!

Ah effectivement c'est dommage, c'est un live de Nightwish avec leur reprise du fantôme de l'opéra =) par contre, depuis que ce n'est plus Tarja ce groupe est devenu complètement insipide, comme la majorité des groupes de métal avec chanteuses à mon goût...

Pas trop mon truc Nightwich! Un peu trop mélodique pour moi! Si on part sur du mélodieu partons dans le prog avec un petit Dream Theater ou Silent Force!

En fait c'était surtout car ils reprenaient le thème principal de cet opéra =) cela fait également bien longtemps que je ne les écoutes plus

El_Dos a écrit:là on se rapproche de quelque chose de plus dans mes goûts

Et pour se rapprocher des classiqueux 

Le classiqueux a bien aimé...

JOLI  

Depuis qu'on m'en parle de ce tabac, jamais pu goûter.
S il y a une bonne âme pour un échantillon, je suis preneur.

Yanouch a décidé de nous ressortir tous les monstres du manoir....

Je n'osais pas le dire !

C'est pas mon truc.

Ah les goûts et les couleurs heureusement qu'ils sont différents pour chacuns de nous sinon nous serions mariés avec la même femme :bball:

Drak Poy a écrit:Le Winslow Harlekin est un de ces tabacs qui ne peut en aucun cas vous laisser indifférent.
En fait, l'acquisition récente d'une pipe Poul WilslØw, somptueuse bouffarde qu'il m'a fallu ôter du cheptel de notre ami Smoking Dragon (avec son accord il va sans dire) avant de pouvoir en caresser les courbes harmonieuses et rêveuses, m'a inexorablement rapprocher de ce blend  aromatisé de façon aussi exceptionnelle qu'osée.
Voici donc son histoire...

« Confortablement assis au creux de mon fauteuil de prédilection, celui là même qui, côtoyant mon ami Léon (un adorable Dragon de bois ayant pris possession de la colonne de mon salon) se dressait à deux pas de l'immense baie vitrée. Le regard perdu comme souvent au delà des monts embrumées de ma région en cette saison, j'attendais, cette sculpturale danoise au creux de la main. Puis, après quelques instants de silence propre à me recueillir, je décidai enfin d'entamer l'expérience tant attendue. La boite colorée demeurait d'une beauté peu commune, à condition bien-sûr de ne point être rebuter par la hardiesse des tons propres aux arlequins. À l'ouverture, le tabac doré aux nuances sombres se mit à dégager d'affriolantes flagrances qui excitèrent mes papilles avant même que ne s'élèvent les fiers panaches. La vanille et la noix de coco affichèrent leurs douces saveurs aux cotés du parfum acidulé du citron, engrangeant un mélange subtil et très agréable bien que fort osé. Enfin, une fois avoir pris place au cœur du foyer, les brins de Virginie, Burley et Cavendish se mirent à prendre une teinte érubescente sous l'action de la flamme les qui les léchait amoureusement. Ainsi une capiteuse fumée se mit à chatouiller mon palais. C'était doux, rond et suave comme une caresse, mais également frais telle une brise capable de rafraîchir sous un ardent soleil, le parfum acidulé de l'agrume se fondant avec merveille, en douceur, aux exhalaisons plus sucrées qui le précédaient. La combustion facile donnait corps à la magie, me plongeant au cœur d'une félicité sans nom. Bientôt les  sapins et la brume couvrant la montagne de ses vapeurs lourdes s'effacèrent doucement tandis qu’apparaissait, de prime abord diaphane, puis nettement perceptible, émergeant d'un épais brouillard, les silhouettes chaudes et élancées des cocotiers bordant une plage de sable blanc. Ainsi, des images s'imposèrent doucement à mon esprit, et à bord du clipper « le Blue Smoke », accoudé au bastingage, je me voyais découvrir les nouvelles terres loin à l'ouest de notre vieille Europe. À l'arrière, une végétation exubérante aux merveilleuses teintes émeraude se dressait, majestueuse, et je pouvais voir ici et là quelques citronniers dresser leurs délicates feuilles oblongues et sentir leurs flagrances qui donnaient l'eau à la bouche aux marins décharnés assistant au spectacle. Ainsi me trouvais-je en ce rude mois de janvier grâce à la magie des volutes transporté en des lieux aux eaux chaudes et claires, celles-là même sur les lesquelles j'avais vogué et découvert le fameux Winslow n°1(clic ici) en compagnie du Capitaine SD. Les panaches se succédèrent délicieusement jusqu'à ce que la belle bouffarde ne contienne plus que des cendres, me ramenant irrémédiablement au cœur de mes rudes et non moins belles montagnes, faisant de moi un laudateur invétéré de cet illustre blend..."

Comme tu peux le voir Janouch, cet Harlekin m'a marqué ! Il entre dans mon top 5 sans hésitation. Son problème comme tous les Winslow demeure son acquisition en France. Il va falloir toutefois me débrouiller pour en trouver rapidement car je suis sur la fin de ma boite...
S'il n'y a pas d'imprévu je devrais rejoindre St Claude samedi prochain, et je crois que je vais m'autoriser un petit détour à Genève, je devrais bien le trouver la-bas dans une jolie civette Suisse !

Effectivement sur Genève il doit pouvoir se trouver, très certainement chez Davidoff, après je n'y suis allé qu'une fois dans cette civettes et ne fumant pas se genre de tabac je n'ai pas plus fait attention que cela...

Oui, sinon il y a Tabac Rhein peut-être (Dunhill je crois), ou le Boa fumant ?

Si mes souvenirs sont bons, le boa fumant vend surtout des tabacs maisons donc à mon avis très peu d'autres tabacs

J ai ecremé les civettes pres de chez moi
Pas trouvé

Je ne sais pas si vous connaissez l'information ou pas, mais au cas où, le Boa Fumant à changé de propriétaire et a déménagé.

A Genève, tu trouveras le Winslow Harlequin uniquement dans ma cuvette préférée: Tabac RHEIN.
Le Boa Fumant ne propose effectivement que des mélanges maison et de très bonne qualité, mais leurs horaires d'ouvertures sont vraiment chaotiques.

Davidoff j'en parle pas, ce ne dont pas des commerçants mais des valets de pieds... Ils réservent leurs sourires uniquement aux costumes cravates !

Algir a écrit:Je ne sais pas si vous connaissez l'information ou pas, mais au cas où, le Boa Fumant à changé de propriétaire et a déménagé.

Première nouvelle, depuis quand !???
cela fait déjà 5 ans il me semble mon cher Algir.
La boutique est déplacée à 50 mètres plus loin dans la même rue... Et la patronne est toujours aussi charmante ! Je conseille cette adresse à tous les amoureux de tabac...

J'ai lu tellement d'informations ces deux derniers mois que je mélange un peu, dans l'article en question je n'avais pas capté que ce changement datait déjà de cinq ans en arrière.

Merci de cette précision Sergent Pipeur.

J'espère donc que depuis le temps elle a pu mieux achalander son magasin, car il me semble que l'auteur de la revue était allé lui rendre visite peu après le déménagement et qu'à ce moment là tout n'était pas encore bien en place.

P.S: Peut-être est-ce même toi l'auteur de la revue en question ?

Remarque moi ça fait bien 4 mois que je n'y suis pas allé, et la boutique était bien remplie...
Mais Tout est possible avec le Boa...
Tu as lu cela ou ? FDP ?