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SAUTRY EST MORT 51 L'illustration est de Brase d'Anjou
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SAUTRY EST MORT 51 L'illustration est de Brase d'Anjou
Ils décident d’aller jusqu’au parc Świętokrzyski
Cela leur permettra de fumer tranquillement.
Il n’y a rien à voir sur leur chemin
Rues et avenues bordées d’immeubles et de gratte-ciels modernes.
Jansomme n’est pas satisfait/
« J’espère que nous aurons rapidement des retours de Bernard.
Pour le moment on est dans le brouillard.
Et je ne sens pas ce chauffeur de taxi.
- Prenons les choses comme elles viennent.
Il finira bien par en sortir quelque chose.
Bernard nous a envoyé justement parce qu’il n’avait aucune piste.
- Tu as raison.
Attendons le retour sur nos photos et notre rapport.
- Et puis il y a le rendez-vous de demain. »
Ils continuent tranquillement leur chemin en direction du parc.
Entre deux bouffées et sans bouger la tête, Jansomme dit :
«Ne réagis pas. Je crois qu’on est suivis.
- On va faire durer un peu le plaisir pour essayer de savoir à qui on a affaire.
- Avançons vers le parc.
En y entrant on se séparera.
On se retrouve à huit heures à l’hôtel.
- D’accord.
- J’ai eu un œil sur notre remorque.
Insignifiant. Veste marron pantalon beige. Lunettes. Brun. »
Lannié sort son téléphone.
« C’est Léon. » dit-il a Jansomme.
Et il entreprend une conversation animée.
Il gesticule, va, vient, tourne sur lui-même, prend Jansomme à témoin et finalement lance à voix haute :
«Je t’ai déjà dit non. Arrête avec ton histoire.
Non ! Je ne sais pas quand nous irons à Zakopane.
En tout cas pas demain. »
Il raccroche ostensiblement et lance à Jansomme :
« Il commence à me fatiguer avec ce voyage.
Il veut absolument savoir quand nous irons là-bas.
Il est pénible.»
Jansomme le regarde et dit :
« Je crois que ce serais mieux d’aller à Zakopane la semaine prochaine.
Demain on pourrait continuer à visiter un peu la ville.
De toute façon il ne se passera rien avant la fin de la semaine.»
Ils arrivent à l’entrée du par et se séparent.
Lannié entre dans le parc.
Jansomme fait demi-tour et revient vers l’hôtel.
direction: la gare.
Il pénètre dans l’immense salle des pas perdues.
Il y a beaucoup de monde, ce qui ne fait pas vraiment son affaire.
Au bureau de tourisme il n’y a que quelques personnes.
Il va au comptoir et parle à une hôtesse. Ressort. Emprunte l’escalator. Descend vers les voies du premier niveau.
Là en regardant les panneaux d’affichage des trains, il secoue la tête et va rejoindre la plate-forme d’où part l’escalator vers le second sous-sol.
Il pince les lèvres pour effacer un sourire qui dis: Je les ai!
Pris de court, le couple qui le suit depuis qu’il a quitté Lannié a dû se presser un peu pour ne pas le perdre.
Jansomme entreprend de leur faire visiter la gare.
Finalement, il estime que cela suffit.
Il ressort. Reprend sa pipe. Reste sur le parvis comme s’il attendait quelqu’un.
Suivre sans se faire remarquer quelqu’un qui reste debout sur un parvis de gare, c’est mission impossible.
Jansomme le sait.
Si l’on ne veut pas être remarqué il faut s’éloigner en pariant que la cible n’a rien remarqué et va rester là.
En effet après un instant d’hésitation, le couple retourne dans la gare.
Mauvais calcul.
Dès qu’ils ont disparu, Jansomme range sa pipe et file vers le parking.
Il se perd parmi les voitures et s’éloigne jusqu’à être complètement hors de vue de l’entrée de la gare.
S’ils l’on vu de loin se diriger vers le parking, ils ne pourront pas savoir s’il a continué à pied ou s’il avait une voiture garée sur place.
Seule chose acquise pour le moment :
Ceux qui les font suivre ont les moyens de mobiliser plusieurs personnes pour cette filature.
Ce ne sont pas des petits joueurs.
Et il retourne tranquillement à l’hôtel pour retrouver Lannié
Cela leur permettra de fumer tranquillement.
Il n’y a rien à voir sur leur chemin
Rues et avenues bordées d’immeubles et de gratte-ciels modernes.
Jansomme n’est pas satisfait/
« J’espère que nous aurons rapidement des retours de Bernard.
Pour le moment on est dans le brouillard.
Et je ne sens pas ce chauffeur de taxi.
- Prenons les choses comme elles viennent.
Il finira bien par en sortir quelque chose.
Bernard nous a envoyé justement parce qu’il n’avait aucune piste.
- Tu as raison.
Attendons le retour sur nos photos et notre rapport.
- Et puis il y a le rendez-vous de demain. »
Ils continuent tranquillement leur chemin en direction du parc.
Entre deux bouffées et sans bouger la tête, Jansomme dit :
«Ne réagis pas. Je crois qu’on est suivis.
- On va faire durer un peu le plaisir pour essayer de savoir à qui on a affaire.
- Avançons vers le parc.
En y entrant on se séparera.
On se retrouve à huit heures à l’hôtel.
- D’accord.
- J’ai eu un œil sur notre remorque.
Insignifiant. Veste marron pantalon beige. Lunettes. Brun. »
Lannié sort son téléphone.
« C’est Léon. » dit-il a Jansomme.
Et il entreprend une conversation animée.
Il gesticule, va, vient, tourne sur lui-même, prend Jansomme à témoin et finalement lance à voix haute :
«Je t’ai déjà dit non. Arrête avec ton histoire.
Non ! Je ne sais pas quand nous irons à Zakopane.
En tout cas pas demain. »
Il raccroche ostensiblement et lance à Jansomme :
« Il commence à me fatiguer avec ce voyage.
Il veut absolument savoir quand nous irons là-bas.
Il est pénible.»
Jansomme le regarde et dit :
« Je crois que ce serais mieux d’aller à Zakopane la semaine prochaine.
Demain on pourrait continuer à visiter un peu la ville.
De toute façon il ne se passera rien avant la fin de la semaine.»
Ils arrivent à l’entrée du par et se séparent.
Lannié entre dans le parc.
Jansomme fait demi-tour et revient vers l’hôtel.
direction: la gare.
Il pénètre dans l’immense salle des pas perdues.
Il y a beaucoup de monde, ce qui ne fait pas vraiment son affaire.
Au bureau de tourisme il n’y a que quelques personnes.
Il va au comptoir et parle à une hôtesse. Ressort. Emprunte l’escalator. Descend vers les voies du premier niveau.
Là en regardant les panneaux d’affichage des trains, il secoue la tête et va rejoindre la plate-forme d’où part l’escalator vers le second sous-sol.
Il pince les lèvres pour effacer un sourire qui dis: Je les ai!
Pris de court, le couple qui le suit depuis qu’il a quitté Lannié a dû se presser un peu pour ne pas le perdre.
Jansomme entreprend de leur faire visiter la gare.
Finalement, il estime que cela suffit.
Il ressort. Reprend sa pipe. Reste sur le parvis comme s’il attendait quelqu’un.
Suivre sans se faire remarquer quelqu’un qui reste debout sur un parvis de gare, c’est mission impossible.
Jansomme le sait.
Si l’on ne veut pas être remarqué il faut s’éloigner en pariant que la cible n’a rien remarqué et va rester là.
En effet après un instant d’hésitation, le couple retourne dans la gare.
Mauvais calcul.
Dès qu’ils ont disparu, Jansomme range sa pipe et file vers le parking.
Il se perd parmi les voitures et s’éloigne jusqu’à être complètement hors de vue de l’entrée de la gare.
S’ils l’on vu de loin se diriger vers le parking, ils ne pourront pas savoir s’il a continué à pied ou s’il avait une voiture garée sur place.
Seule chose acquise pour le moment :
Ceux qui les font suivre ont les moyens de mobiliser plusieurs personnes pour cette filature.
Ce ne sont pas des petits joueurs.
Et il retourne tranquillement à l’hôtel pour retrouver Lannié
Dernière édition par william1941 le Mer 10 Aoû 2022 - 14:27, édité 2 fois
william1941- Poète, barde, troubadour...
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william1941- Poète, barde, troubadour...
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