Ernst Jünger et sa pipe

Vixesse a écrit:"Je sors ma pipe de la poche de mon manteau-c'était une vieille copine qui m'a facilité bien des nuits de garde et m'a tenu compagnie dans dans nombre de passes difficiles. L'embout de corne est tout déchiqueté, certes, il a fallu plus d'une fois serrer les dents. Un jour, à Combles, j'étais justement en train de fumer lorsque je fus touché par un shrapnel à l'entrée d'une maison en ruine, et je l'avais encore à la bouche lorsqu'on me fit un pansement dans la cave."

Ernst Jünger, Feu et Sang.

Très intéressant ! Merci pour ce partage ; j’avoue ne le connaître que de nom, mais je n’ai jamais rien lu de lui... 

Vixesse a écrit: Un jour, à Combles, j'étais justement en train de fumer lorsque je fus touché par un shrapnel à l'entrée d'une maison en ruine, et je l'avais encore à la bouche lorsqu'on me fit un pansement dans la cave."

Ernst Jünger, Feu et Sang.

Vixesse a écrit:"Je sors ma pipe de la poche de mon manteau-c'était une vieille copine qui m'a facilité bien des nuits de garde et m'a tenu compagnie dans dans nombre de passes difficiles. L'embout de corne est tout déchiqueté, certes, il a fallu plus d'une fois serrer les dents. Un jour, à Combles, j'étais justement en train de fumer lorsque je fus touché par un shrapnel à l'entrée d'une maison en ruine, et je l'avais encore à la bouche lorsqu'on me fit un pansement dans la cave."

Ernst Jünger, Feu et Sang.

la hyène a écrit:
Deux récits et un essai et puis je crois qu'il est en pléiade....