Les Origines, des origines à nos jours, comment les dater et déterminer leur valeur marchande . . .

Bandit je te remercie mille fois
Si un jour tu en as une de ta collection d’un format similaire ou à peine plus petit avec l’allonge en albatros que tu souhaite vendre, fais-moi signe, je serai ravi d’avoir la paire
Belle journée à toi

Sebalpinev6 a écrit: avec l’allonge en albatros que tu souhaite vendre, fais-moi signe, 

( C'était plus un os d'albatros depuis des lustres, mais un os de dinde, avant le synthétique . )

Sebalpinev6 a écrit:Je me suis amusé à adapter un écrin BC des années 90 que j’avais à la maison pour y ranger cette Origine bien confortablement, qu’en pensez-vous les copains?

Trop classe même si les dates ne correspondent pas, les générations peuvent se rencontrer, c'est la grand-mère qui dort dans le lit de son arrière petit fils   stssssssssss

Au fait Bandit, j’avais lu il y’a longtemps (impossible de me souvenir dans quel livre) que à une certaine époque, les partisans de je ne sais quel mouvement idéologique fumaient une Choquin pour se reconnaître entre-eux.
En as-tu entendu parler et si oui, peux-tu nous raconter l’anecdote ?

Une curiosité quoi...  

Yep, très intéressant. Merci du partage.

Il va falloir que j'aille fouiller dans des caisses pour retrouver la mienne.

Merci pour tous ces échanges aussi instructifs qu'intéressant les gars. 

Seb, j'avais lu ta requête concernant ce groupe de personnes se reconnaissant grâce à ces pipés sur le groupe Facebook. J'espère que Bandit saura éclairer ta lanterne à ce sujet.

Pierrot Gourmand a écrit:
Seb, j'avais lu ta requête concernant ce groupe de personnes se reconnaissant grâce à ces pipés sur le groupe Facebook. J'espère que Bandit saura éclairer ta lanterne à ce sujet.

J'aimerais bien connaître la réponse, car ça m'intrigue...

Je ressort ce sujet en mettant la photo de cette B.C, j'aimerais beaucoup connaître son histoire, pas la sienne exactement, mais de cette série si il y en a eu une, c'est un B.C "fabriqué à Metz" et tout ce que je sais c'est que mon père l'a détient depuis les années 70 (Il l'a eu d'occasion dans la Meuse);
Les bagues sont en argent, les tuyaux en os (oie ou albatros??), seul l'embout n'est pas d'origine car refait chez B.C en 1984/85 en bois, avant il était en ambre je crois, elle mesure 36 cm de bout en bout et comme ça ne se voit pas sur la photo  elle est en 3 éléments. J'ai également son boitier d'origine.
Comme j'ai vu que certains connaissent bien cette pipe et ce modèle car ce doit être également une "Origine" j'espère que peut-être j'en saurais un peu plus sur elle.....

Hello there,
En fouinant dans les coins, je retrouve cette origine, qui a un marquage que je  n'avais encore jamais vu sur ce modèle : Lorraine pipe. Est-ce que quelqu'un dans cette docte assemblée aurait des informations supplémentaires là dessus.

Pour le reste, il s'agit d'une origine assez classique, bagues en argent, embout en corne, allonge en os (de rastaquouère noir à crête mordorée des baobabs). Au début, je la croyais en acrylique, mais non, c'est bien de l'os.

Seule particularité, le fond du foyer est plat, comme les origines Butz-Choquin de la fin XIXem et du début du XXem...

Hello
Personne n'a d'idée ? La seule occurrence que je connaisse d'une marque de pipes nommée "Lorraine" est celle citée par Pipephil http://www.pipephil.eu/logos/fr/logo-l6.html mais la graphie est différente...

Pas d'infos mais est-ce que ce nom pourrait avoir une fonction "militante" ? Je veux dire : fabriquée après 1870 par un pipier voulant valoriser le souvenir de cette province perdue ?

Bourrac a écrit:Pas d'infos mais est-ce que ce nom pourrait avoir une fonction "militante" ? Je veux dire : fabriquée après 1870 par un pipier voulant valoriser le souvenir de cette province perdue ?

Oui, ça n'est pas impossible en effet, à l'époque, afficher ses opinions politiques, religieuses ou philosophiques se faisait souvent ainsi.

Ce qui m'étonne, c'est que ce modèle de pipe est bien connu, y compris dans ses différentes variantes de marques lors du procès entre la veuve de Gustave Butz et les repreneurs de l'usine Choquin, mais jamais de mention de cette "lorraine".