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Je suis rettourné à Samara 12 Illustration Bras d'Anjou; Ric le Gaumois
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Je suis rettourné à Samara 12 Illustration Bras d'Anjou; Ric le Gaumois
william1941 Mar 1 Sep 2020 - 1:13
En route pour Winston.
Sortie d’Atlanta. Circulation fluide.
Je m’attends à ce que nous rejoignons l’interstate. Manifestement nous prenons un autre trajet.
Je ne dis rien.
Mon aurige non plus.
Le temps passe et je commence à craindre que nous ne soyons pas à l’heure au rendez-vous.
J’avais tort. Quatorze-heures cinquante-cinq : « Nous sommes arrivés monsieur. Je vous attends».
Tu m’étonnes !
Je prends le porte-document, sors de la voiture.
Nous sommes dans une sorte de zone industrielle avec des bâtiments flambants neufs.
Les numéros des blocs sont accrochés comme des enseignes au-dessus des portes d’entrée.
Il faudrait être aveugle pour ne pas les voir : ils font au moins deux mètres de haut.
Devant moi en acier brillant : 2590.
J’entre.
Comptoir d’accueil, un employé.
Il me regarde l’air surpris.
- I have an appointment with Mister John Smith at three P.M.
Il n’ouvre pas la bouche. Décroche un téléphone et lâche :
- Appointment for Mister Smith.
Il raccroche.
- Have a seat.
Je reste debout.
Très vite monsieur Smith, ou quel que soit son nom, et c’est peut-être bien le sien après tout… , ….
n’apparaît pas.
Une créature de rêve, du genre de celles que l’on voit dans les films quand le rôle de la secrétaire est tenu par Marylin, descend par l’escalier à côté du comptoir.
En français, s‘il vous plaît, elle dit : « Si vous voulez me suivre » et elle remonte.
Je pourrais lui répondre « Je suis marié, pour qui me prenez-vous ? ». Dans la vraie vie je ne dis rien. Je la suis.
Choisissez!! 
Deux étages me laissent tout le temps d’apprécier sa plastique et le talent avec lequel elle gravit l’escalier. A faire rêver Henri de Puymaufray. Mais franchement, le cœur n’y est pas
Nous arrivons directement dans un grand bureau style tout-métal.
Un homme d’une cinquantaine d’année s’avance vers moi à grandes enjambées, la main droite largement ouverte. Il lance d’une voix de stentor des formules de bienvenue.
Enfin, j’espère, parce que vu la taille du gaillard et de sa main grand ouverte, s’il n’est pas content, je suis « in real and present danger ». Le sourire qui éclaire son visage me rassure. Pas ses yeux.
Nous nous serrons la main. Il me conduit vers une table en acier, avec des chaises en acier, munies de revêtement en… cuir et m’invite à m’asseoir.
Marylin est à l’entrée. Il lui lance en anglais « Dites à Rudy de venir ». En anglais ça donne juste « Call Rudy »
Marylin disparait. Rapidement remplacée par un double mètre type footballeur américain qui entre avec une volumineuse serviette en toile.
Il me salut et s’installe.
« - Coffee ?
- No thanks »
Je n’ai pas envie de me ruiner l’estomac !
Rudy sort tout un lot de documents de sa serviette et une grosse enveloppe qu’il me remet
Elle est scellée avec le cachet de ma société. Je l’ouvre.
Je me rends vite compte que le schéma est le même que celui de ce matin :
Une série de documents dans une chemise, une enveloppe plus petite ‘’personnelle’’ en rouge. Cachet et signature de mon boss sur le rabat
Je décachette la lettre. C’est EXACTEMENT la même.
Un document.
Exactement le même
‘’Vérifiez la conformité des bons de commandes et des ordres de livraisons qui vous seront présentés avec ceux contenus dans le dossier joint et signez-les sans dater
Vérifiez les montants et signez les bons à payer sans dater
Vous n’emporterez aucun document à l’issue de ce rendez-vous.
AUCUN
Signature et cachet du patron.’’
Je compare les documents présentés avec ceux du dossier.
- Les produits commandés (je veux bien être pendu si je sais de quoi il s’agit)
- Les ordres de livraisons Pas de transporteur pas de destination Juste la référence de la commande.
- Les montants des bons à payer avec la référence de la commande, le tiré. Sans bénéficiaire mentionné, ni dans mon dossier, ni sur ceux qui me sont présentés.
Tout est conforme.
Je signe toutes les pièces du nom de Fortrain
Rudy me demande le dossier que j’ai apporté.
Je le lui remets puisque ce sont les instructions du patron. Il ne me reste donc, là non plus, aucune trace de l’opération.
Nous nous levons.
- See you next time
- will be my pleasure.
Nous nous dirigeons vers la sortie. Marylin apparait. John et Rudy ou va savoir leurs noms s’arrêtent et je redescends l’escalier derrière une silhouette qui dispense un cours de mécanique ondulatoire appliquée susceptible d’ouvrir des perspectives de recherche fascinantes à tout gadzarts normalement constitué.
Elle me précède jusqu’au comptoir, où le semi-muet est toujours de garde. Me laisse partir avec un sourire de publicité pour dentifrice.
Je me retrouve devant mon chauffeur. Il attendait à côté de la voiture.
Quinze heures quarante-cinq.
Nous retournons à Atlanta. Cette fois par l’Interstate.
Je somnole pendant le trajet.
Seize heures trente. L’hôtel.
Je rejoins ma suite .
Inutile de préparer le dossier pour la réunion de demain.
Je place le linge rapporté par le service de pressing.
Une idée me revient à nouveau à l’esprit : Mon retour en France.
Il y a ce que m’a dit de Lavière (Le rappeler après Monroe pour mettre en place la fin de ma mission) et le dossier que je n’ai pas encore ouvert.
Son contenu est maigre :
Une enveloppe avec :
Un billet open Atlanta Paris.
Un billet open Washington Paris
UN billet open New York Paris.
Les trois billet sont sur Air France et en première classe.
Une note d’accompagnement précise qu’il conviendra d’utiliser l’un des trois billets en fonction des circonstances. Encore un mystère. Je ne sais pas d’où je repartirai…si je repars.
Suit un N° de téléphone. Je commence à le connaître: Celui de de Lavière.
Avec cette mention :
‘’Contacter ce numéro avant de décider du vol de départ.’’
Rien d’autre.
Ainsi donc les propos du colonel ‘’va savoir comment il s’appelle’’ étaient en parfait accord avec le contenu du dossier. Donc il savait.
Sortie d’Atlanta. Circulation fluide.
Je m’attends à ce que nous rejoignons l’interstate. Manifestement nous prenons un autre trajet.
Je ne dis rien.
Mon aurige non plus.
Le temps passe et je commence à craindre que nous ne soyons pas à l’heure au rendez-vous.
J’avais tort. Quatorze-heures cinquante-cinq : « Nous sommes arrivés monsieur. Je vous attends».
Tu m’étonnes !
Je prends le porte-document, sors de la voiture.
Nous sommes dans une sorte de zone industrielle avec des bâtiments flambants neufs.
Les numéros des blocs sont accrochés comme des enseignes au-dessus des portes d’entrée.
Il faudrait être aveugle pour ne pas les voir : ils font au moins deux mètres de haut.
Devant moi en acier brillant : 2590.
J’entre.
Comptoir d’accueil, un employé.
Il me regarde l’air surpris.
- I have an appointment with Mister John Smith at three P.M.
Il n’ouvre pas la bouche. Décroche un téléphone et lâche :
- Appointment for Mister Smith.
Il raccroche.
- Have a seat.
Je reste debout.
Très vite monsieur Smith, ou quel que soit son nom, et c’est peut-être bien le sien après tout… , ….
n’apparaît pas.
Une créature de rêve, du genre de celles que l’on voit dans les films quand le rôle de la secrétaire est tenu par Marylin, descend par l’escalier à côté du comptoir.
En français, s‘il vous plaît, elle dit : « Si vous voulez me suivre » et elle remonte.
Je pourrais lui répondre « Je suis marié, pour qui me prenez-vous ? ». Dans la vraie vie je ne dis rien. Je la suis.
Choisissez!! 
Deux étages me laissent tout le temps d’apprécier sa plastique et le talent avec lequel elle gravit l’escalier. A faire rêver Henri de Puymaufray. Mais franchement, le cœur n’y est pas
Nous arrivons directement dans un grand bureau style tout-métal.
Un homme d’une cinquantaine d’année s’avance vers moi à grandes enjambées, la main droite largement ouverte. Il lance d’une voix de stentor des formules de bienvenue.
Enfin, j’espère, parce que vu la taille du gaillard et de sa main grand ouverte, s’il n’est pas content, je suis « in real and present danger ». Le sourire qui éclaire son visage me rassure. Pas ses yeux.
Nous nous serrons la main. Il me conduit vers une table en acier, avec des chaises en acier, munies de revêtement en… cuir et m’invite à m’asseoir.
Marylin est à l’entrée. Il lui lance en anglais « Dites à Rudy de venir ». En anglais ça donne juste « Call Rudy »
Marylin disparait. Rapidement remplacée par un double mètre type footballeur américain qui entre avec une volumineuse serviette en toile.
Il me salut et s’installe.
« - Coffee ?
- No thanks »
Je n’ai pas envie de me ruiner l’estomac !
Rudy sort tout un lot de documents de sa serviette et une grosse enveloppe qu’il me remet
Elle est scellée avec le cachet de ma société. Je l’ouvre.
Je me rends vite compte que le schéma est le même que celui de ce matin :
Une série de documents dans une chemise, une enveloppe plus petite ‘’personnelle’’ en rouge. Cachet et signature de mon boss sur le rabat
Je décachette la lettre. C’est EXACTEMENT la même.
Un document.
Exactement le même
‘’Vérifiez la conformité des bons de commandes et des ordres de livraisons qui vous seront présentés avec ceux contenus dans le dossier joint et signez-les sans dater
Vérifiez les montants et signez les bons à payer sans dater
Vous n’emporterez aucun document à l’issue de ce rendez-vous.
AUCUN
Signature et cachet du patron.’’
Je compare les documents présentés avec ceux du dossier.
- Les produits commandés (je veux bien être pendu si je sais de quoi il s’agit)
- Les ordres de livraisons Pas de transporteur pas de destination Juste la référence de la commande.
- Les montants des bons à payer avec la référence de la commande, le tiré. Sans bénéficiaire mentionné, ni dans mon dossier, ni sur ceux qui me sont présentés.
Tout est conforme.
Je signe toutes les pièces du nom de Fortrain
Rudy me demande le dossier que j’ai apporté.
Je le lui remets puisque ce sont les instructions du patron. Il ne me reste donc, là non plus, aucune trace de l’opération.
Nous nous levons.
- See you next time
- will be my pleasure.
Nous nous dirigeons vers la sortie. Marylin apparait. John et Rudy ou va savoir leurs noms s’arrêtent et je redescends l’escalier derrière une silhouette qui dispense un cours de mécanique ondulatoire appliquée susceptible d’ouvrir des perspectives de recherche fascinantes à tout gadzarts normalement constitué.
Elle me précède jusqu’au comptoir, où le semi-muet est toujours de garde. Me laisse partir avec un sourire de publicité pour dentifrice.
Je me retrouve devant mon chauffeur. Il attendait à côté de la voiture.
Quinze heures quarante-cinq.
Nous retournons à Atlanta. Cette fois par l’Interstate.
Je somnole pendant le trajet.
Seize heures trente. L’hôtel.
Je rejoins ma suite .
Inutile de préparer le dossier pour la réunion de demain.
Je place le linge rapporté par le service de pressing.
Une idée me revient à nouveau à l’esprit : Mon retour en France.
Il y a ce que m’a dit de Lavière (Le rappeler après Monroe pour mettre en place la fin de ma mission) et le dossier que je n’ai pas encore ouvert.
Son contenu est maigre :
Une enveloppe avec :
Un billet open Atlanta Paris.
Un billet open Washington Paris
UN billet open New York Paris.
Les trois billet sont sur Air France et en première classe.
Une note d’accompagnement précise qu’il conviendra d’utiliser l’un des trois billets en fonction des circonstances. Encore un mystère. Je ne sais pas d’où je repartirai…si je repars.
Suit un N° de téléphone. Je commence à le connaître: Celui de de Lavière.
Avec cette mention :
‘’Contacter ce numéro avant de décider du vol de départ.’’
Rien d’autre.
Ainsi donc les propos du colonel ‘’va savoir comment il s’appelle’’ étaient en parfait accord avec le contenu du dossier. Donc il savait.
Dernière édition par william1941 le Sam 5 Sep 2020 - 0:43, édité 1 fois
william1941- Poète, barde, troubadour...
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Re: Je suis rettourné à Samara 12 Illustration Bras d'Anjou; Ric le Gaumois
Arnaud57 Mar 1 Sep 2020 - 7:01
Je suis scotché, vivement demain
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Re: Je suis rettourné à Samara 12 Illustration Bras d'Anjou; Ric le Gaumois
Ric le Gaumais Mar 1 Sep 2020 - 9:21
Mon presque voisin (Thionville c'est tout près
de la Gaume) a farpaitement raison : VIVEMENT DEMAIN !
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Re: Je suis rettourné à Samara 12 Illustration Bras d'Anjou; Ric le Gaumois
Invité Mar 1 Sep 2020 - 10:54
2 "T" dans le titre ???? .... 
Message codé dans l'air ?
Message codé dans l'air ?
Invité- Invité
Re: Je suis rettourné à Samara 12 Illustration Bras d'Anjou; Ric le Gaumois
Brase d'Anjou Mar 1 Sep 2020 - 11:08
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Re: Je suis rettourné à Samara 12 Illustration Bras d'Anjou; Ric le Gaumois
william1941 Mar 1 Sep 2020 - 11:45
Merci pour cette illusrationBrase d'Anjou a écrit:
Je lesintègrfe dansmespages word mais je n'arrive pas à les publier avec la photo intégrée. Tecgniquement quelque chosem'échappe.
william1941- Poète, barde, troubadour...
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Re: Je suis rettourné à Samara 12 Illustration Bras d'Anjou; Ric le Gaumois
Brase d'Anjou Mar 1 Sep 2020 - 12:12
Là je ne sais pas, sans doute que Ric pourrait te conseiller
Peut-être en cliquant sur Editer dans le message que tu as publié et ensuite cliquer sur l'outil "héberger une image" puis tu insères l'image à l'endroit que tu souhaites. Le plus simple est sans doute de l'insérer à la fin du texte.
Peut-être en cliquant sur Editer dans le message que tu as publié et ensuite cliquer sur l'outil "héberger une image" puis tu insères l'image à l'endroit que tu souhaites. Le plus simple est sans doute de l'insérer à la fin du texte.
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Re: Je suis rettourné à Samara 12 Illustration Bras d'Anjou; Ric le Gaumois
Ric le Gaumais Mer 2 Sep 2020 - 0:52
Là je ne sais pas, sans doute que Ric pourrait te conseiller
Je ne vois qu'une solution : créer un dossier pour tes images et/ou photos
et les introduire dans ton texte quand il est sur la page que tu vas poster
dans le Forum.
Exemple :
Une créature de rêve, du genre de celles que l’on voit dans les films quand le rôle de la secrétaire est tenu par Marylin, descend par l’escalier à côté du comptoir.
En français, s‘il vous plaît, elle dit : « Si vous voulez me suivre » et elle remonte.
Je pourrais lui répondre « Je suis marié, pour qui me prenez-vous ? ». Dans la vraie vie je ne dis rien. Je la suis.
Deux étages me laissent tout le temps d’apprécier sa plastique et le talent avec lequel elle gravit l’escalier. A faire rêver Henri de Puymaufray. Mais franchement, le cœur n’y est pas.
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Re: Je suis rettourné à Samara 12 Illustration Bras d'Anjou; Ric le Gaumois
william1941 Mer 2 Sep 2020 - 1:08
Non! Faute de frappe!Lecram Effuahc Zella a écrit:2 "T" dans le titre ???? ....
Message codé dans l'air ?
Sorry!
william1941- Poète, barde, troubadour...
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Re: Je suis rettourné à Samara 12 Illustration Bras d'Anjou; Ric le Gaumois
william1941 Mer 2 Sep 2020 - 1:18
J'ai essayé.Ric le Gaumais a écrit:Là je ne sais pas, sans doute que Ric pourrait te conseiller
Je ne vois qu'une solution : créer un dossier pour tes images et/ou photos
et les introduire dans ton texte quand il est sur la page que tu vas poster
dans le Forum.
Exemple :
Une créature de rêve, du genre de celles que l’on voit dans les films quand le rôle de la secrétaire est tenu par Marylin, descend par l’escalier à côté du comptoir.
En français, s‘il vous plaît, elle dit : « Si vous voulez me suivre » et elle remonte.
Je pourrais lui répondre « Je suis marié, pour qui me prenez-vous ? ». Dans la vraie vie je ne dis rien. Je la suis.
Deux étages me laissent tout le temps d’apprécier sa plastique et le talent avec lequel elle gravit l’escalier. A faire rêver Henri de Puymaufray. Mais franchement, le cœur n’y est pas.
Texte enword docx. Image en JPG.
J'ai même appris le coup de l'habillage. C'est genial. Le texe se met autour de l'image!
Mais quandje fais copier-coller dans l'espaedu rforum, le texte se colle mais pas l'image.
Je viens de penser à un truc. J'essaie pour voir si ça marche.
Héberger comme image le texte avec l'image intégrée
Raté!
Comment as-tu fais pour ton image dans le texte?
william1941- Poète, barde, troubadour...
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Re: Je suis rettourné à Samara 12 Illustration Bras d'Anjou; Ric le Gaumois
Brase d'Anjou Sam 5 Sep 2020 - 11:17
Je choisis l'illustration de Ric, beaucoup plus sexy avec ses escarpins rouges. Y a pas photo 
Brase d'Anjou- Vieux de la vieille
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Re: Je suis rettourné à Samara 12 Illustration Bras d'Anjou; Ric le Gaumois
william1941 Sam 5 Sep 2020 - 11:28
C'est vrai.Brase d'Anjou a écrit:Je choisis l'illustration de Ric, beaucoup plus sexy avec ses escarpins rouges. Y a pas photo
Mais je dois à la vérité de dire que dans ma mémoire elle portait une robe verte nettement plus courte.
Vraiment nettement plus courte! La difficulté était de savoir si je montais juste derrière en gardant les mains dans les poches et le nez baissé ou si je lui laissais quelques marches d'avance pour profiter du panorama jusque dans ses moindres... détails. Et deux étages c'est long et c'est haut!
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Re: Je suis rettourné à Samara 12 Illustration Bras d'Anjou; Ric le Gaumois
Invité Sam 5 Sep 2020 - 13:37
William! I'm chocked!william1941 a écrit:C'est vrai.
Mais je dois à la vérité de dire que dans ma mémoire elle portait une robe verte nettement plus courte.
Vraiment nettement plus courte! La difficulté était de savoir si je montais juste derrière en gardant les mains dans les poches et le nez baissé ou si je lui laissais quelques marches d'avance pour profiter du panorama jusque dans ses moindres... détails. Et deux étages c'est long et c'est haut!
Invité- Invité
Re: Je suis rettourné à Samara 12 Illustration Bras d'Anjou; Ric le Gaumois
Invité Sam 5 Sep 2020 - 14:01
Mais, grâce à toi, je comprends mieux Clémenceau.
Invité- Invité
Re: Je suis rettourné à Samara 12 Illustration Bras d'Anjou; Ric le Gaumois
william1941 Sam 5 Sep 2020 - 14:14
La mienne était naturelle. Sans accessoire au thé.Octave a écrit:William! I'm chocked!william1941 a écrit:C'est vrai.
Mais je dois à la vérité de dire que dans ma mémoire elle portait une robe verte nettement plus courte.
Vraiment nettement plus courte! La difficulté était de savoir si je montais juste derrière en gardant les mains dans les poches et le nez baissé ou si je lui laissais quelques marches d'avance pour profiter du panorama jusque dans ses moindres... détails. Et deux étages c'est long et c'est haut!
Mon fusil par contre est un plein chocke. Plus efficace mais nécessite un bon tireur. And a good luck
william1941- Poète, barde, troubadour...
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Re: Je suis rettourné à Samara 12 Illustration Bras d'Anjou; Ric le Gaumois
Invité Sam 5 Sep 2020 - 14:20
Donc tu as vu l'accessoire en place. Sacré coquin!
Invité- Invité
Re: Je suis rettourné à Samara 12 Illustration Bras d'Anjou; Ric le Gaumois
william1941 Sam 5 Sep 2020 - 14:32
Octave:Octave a écrit:Donc tu as vu l'accessoire en place. Sacré coquin!
il est des merveilles qui n'ont besoin d'aucun accessoire. Elles suffisent sans, aux cent plaisirs des sens, sans qu'il en coûte un cent, ou qu'il y est un cens. Sinon,Gare! certains y perdent leur bon sens. ET l'on devient vite indécent à utiliser les sens en tous sens
william1941- Poète, barde, troubadour...
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Re: Je suis rettourné à Samara 12 Illustration Bras d'Anjou; Ric le Gaumois
Invité Sam 5 Sep 2020 - 14:43
Bon j'arête car je ne comprends plus rien à ces histoires de panorama, d'accessoires d'escalier et de Clémenceau qui sont en train de perdre tous leurs sens dans mon esprit torturé par ces images. Permets moi de rester dans ma sainte innocence.
Invité- Invité
Re: Je suis rettourné à Samara 12 Illustration Bras d'Anjou; Ric le Gaumois
william1941 Sam 5 Sep 2020 - 14:47
Une sainte innocence!Octave a écrit:Bon j'arête car je ne comprends plus rien à ces histoires de panorama, d'accessoires d'escalier et de Clémenceau qui sont en train de perdre tous leurs sens dans mon esprit torturé par ces images. Permets moi de rester dans ma sainte innocence.
J'en suis pantois bien que sans rides.
Bonne soirée
william1941- Poète, barde, troubadour...
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Re: Je suis rettourné à Samara 12 Illustration Bras d'Anjou; Ric le Gaumois
Brase d'Anjou Sam 5 Sep 2020 - 17:36
Dernier essai William 
On dira que la jupe est vert foncé...
On dira que la jupe est vert foncé...
Brase d'Anjou- Vieux de la vieille
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