LIste envies

little smoke a écrit:...je n'ai pas de Northern Briars et j'en veux absolument

Profite Little, y'a les soldes !

http://www.pipetobacco.com/northern-briar-premier-pipe-no-20.html

Oui mais celle-ci n'est pas trop mon style et puis !

little smoke a écrit:.. et puis !

Nous en sommes tous rendus là je le crains.

little smoke a écrit:Voici une Blatter qui me fait tourner de l'oeil :

superbe

Elle est jolie cette petite 

Moi c'est surtout des tabacs que je veux gouter :

Balkan flake
night cap
Artisan blend
Irish flake
Dunhill flake

Sont les principaux que je souhaite me procurés prochainement !

Outre quelques modèles de Pierre Morel et David Enrique, j'aimerai bien avoir une ou deux pipes de Peter Matzhold, Rainer Barbi et de Cornelius Maenz.

Manzoni a écrit:Moi c'est surtout des tabacs que je veux gouter :
night cap
Artisan blend

je t'en ramène en juin si tu veux

Les pipes Courrieu me tentent bien aussi.
Des prix abordables et les objets semblent de bonne qualité. Il y a des utilisateurs de ces pipes ?

Alex12 a écrit:Les pipes Courrieu me tentent bien aussi.
Des prix abordables et les objets semblent de bonne qualité. Il y a des utilisateurs de ces pipes ?

J'en ai plusieurs achetées à la Foire de Paris et ramenées de Cogolin par mon fiston... Ce sont d'excellentes fumeuses...

Je confirme!!

Pour un avis différent, tapes "Courrieu Pipe Pipegazette" dans google et tu auras la réponse. (Je suis interdit de lien jusqu'à la fin de la semaine depuis ma réinscription).

Si tu veux du pas cher avec des bruyères de qualité, regarde plutôt du côté de l'Espagne (par exemple Baulenas pipes Sigmund). En France, aujourd'hui, à moins de 250 euros en industriel, disons pour ne froisser personne, que tu en auras pour ton argent, pas plus ...

Tu auras meilleur compte à acheter une magma Morel.

Mais, c'est vrai, il fût un temps où les pipes Courrieu furent excellentes, comme leurs concurrentes sanclaudienneS d'ailleurs.

Je sais pas ce que valent les Courrieu aujoud'hui, les miennes ont une quinzaine d'années

Brunaros a écrit:Je sais pas ce que valent les Courrieu aujoud'hui, les miennes ont une quinzaine d'années

Très franchement je ne sais pas non plus car les miennes sont âgées également...

On en est tous là, nos pipes sont comme nous, elles se bonifient en prenant de l'âge .

L'article de Pipegazette du 14 février 2009 n'est pas très sympa concernant les nouvelles. Faute de ne pouvoir faire de liens externes, je le recopie :

"Comme pour l'invention du rugby, plusieurs histoires courent à propos de la première utilisation de la bruyère pour les pipes. Parmi les hypothèses, celle de la maison Courrieu à Cogolin, près de Saint-Tropez dans le Var. Dès 1802, Ulysse Courrieu, agriculteur dans la région, aurait fabriqué la première bouffarde dans cette matière. Hypothèse a priori plausible, dans la mesure où l'erica arborea est un arbuste qui pousse à l'état sauvage juste au dessus de Cogolin, dans le Massif des Maures. Une chose est parfaitement sûre: la création de la fabrique Courrieu remonte bien à cette époque. Mais rien ne dit que c'est de ce bois que l'on faisait les pipes au début du 19° siècle. Plus de 200 ans après, l'entreprise familiale se perpétue et c'est maintenant René Salvestrini, qui a épousé une demoiselle Courrieu, qui tient les rênes.


A Cogolin, avenue Georges Clémenceau, on ne peut pas rater Courrieu: deux boutiques tiennent le haut du pavé. L'une est entièrement dédiée à la vente de pipes: des milliers, de toutes les qualités: beaucoup de bas de gamme, quelques pièces luxueuses et, entre les deux, un honnête choix de pipes standard à une cinquantaine d'euros. L'impression est étrange. On est d'abord enthousiasmé, prêt à se jeter à corps perdu dans ces rayons à l'offre pléthorique, puis assez rapidement perdu et déçu au milieu d'une quantité innombrable de pipes assez mal fichues. 



C'est donc en nageant longtemps dans cet océan de bruyère médiocre que l'on peut découvrir quelques pièces de qualité, là-bas, au fond, à l'horizon... Point positif: la gamme est suffisament large pour que tout fumeur y trouve son compte. "La pipe selon votre budget", ce pourrait être la devise de la maison. La question est: est-ce le juste prix ? La réponse est: oui, si l'on cherche bien. 

Dans la moyenne gamme, à une cinquantaine d'euros, nous avons trouvé un assez joli bois, dans une forme classique. L'honnête pipe à un honnête prix. Mais chez Courrieu, il vaut mieux avoir de bons yeux ou une bonne correction visuelle, car le diable se cache dans les détails: points de mastic, sandpits, finitions contestables, état du tuyau... pour trouver son bonheur, ne pas compter ses heures.




L'autre magasin propose toutes sortes d'objets en bois aux touristes de passage et jouxte l'atelier, qui se visite. Là aussi, sensation étrange. Autant la partie dédiée aux finitions, au ponçage, à la teinture et au marquage des pipes et des tuyaux s'avère en activité, autant l'atelier de travail, de découpe, de façonnage de la bruyère semble ne pas avoir été utilisé depuis belle lurette et ne servir que de musée dédié aux vacanciers désireux de faire une petite visite un jour de pluie ou de mistral... Les néophytes repartent avec une pipe à deux sous ou une cuillère en olivier. Peut-être auront-ils visité la fabrique de pipes, persuadés d'être entrés dans un atelier encore chaud, alors qu'il y a bien des années que le coq, symbole de la marque, ne chante plus ici. Et les vrais amateurs de bruyère, eux, déchanteront sans doute".


Pas très engageant !

Et bien dis donc ! Pas très flatteur en effet !
Je ne suis jamais allé à Cogolin mais à l'époque où j'habitais à Paname, je fréquentais la Foire de Paris et j'ai toujours trouvé de belles bouffardes chez eux... Sans défaut, sandpit ou mastic... La qualité aurait elle passé entre temps ? Possible... Ce serait très décevant...

Je trouve ce texte assez honnête, il y a de tout, du bas de gamme, des pipes correctes et des pipes luxueuses.
Cela doit être la même chose chez les autres fabricants, sauf ceux artistes et artisans qui ne font que du haut de gamme.