Re: Mort de rire — parce que j'ai le sens de l'humour !

Mek Mer 26 Mai 2021 - 22:31

Mort de rire — parce que j'ai le sens de l'humour ! - Page 37 Screen12

La on voit mieux. Tout frais de la veille, rasée sur un bon public, filmée et vidéo partager sur les réseaux sans mon accord mais bon les gens n'y ont pas cru donc on s'est quand même bien amusé le lendemain surtout à voir la tête des profs ! Laughing

Comme ça avec la crète vous aurez vu tous mes délires capillaires.

roark Mer 26 Mai 2021 - 22:43

Ce que j'en dis, c'est que la bouffarde est un sacré trait d'union ! Very Happy

Enchanté, Mek Wink

Mek Mer 26 Mai 2021 - 22:48

roark a écrit:Ce que j'en dis, c'est que la bouffarde est un sacré trait d'union !
Enchanté, Mek

De même Roark et vive la diversité !

william1941 Mer 26 Mai 2021 - 23:00

Vive Lady Versité

Mek Mer 26 Mai 2021 - 23:05

william1941 a écrit:Vive Lady Versité

Mort de rire — parce que j'ai le sens de l'humour ! - Page 37 2524151128

Monsieur De Mesmaeker Mer 26 Mai 2021 - 23:18

william1941 a écrit:Vive Lady Versité

William : one point cheers

Brase d'Anjou Jeu 27 Mai 2021 - 0:01

Oui, le blond vénitien te conviendrait bien. Je confirme Wink

william1941 Jeu 27 Mai 2021 - 2:13

Une petite histoire espagnole
Le roi d’Espagne avait un fou. Comme tous les rois de l’époque.
Celui-ci s’appelait Bisco – que l’on peut peut-être traduire par biscuit en Français
Il était particulièrement virulent contre les seigneurs de la cour
Au point que ceux-ci obtinrent du roi qu’il le supplicie pour le punir.
Bisco fut enfermé 8 jours dans un cachot avec de l’eau et rien à manger.
Au bout de ce temps il fut amené dans une grande pièce.
Là se trouvait le roi et les seigneurs de son entourage.
Au milieu de la pièce il y avait un billot et sur le billot un poulet rôti tout fumant
A côté du billot se trouvaient 2 bourreaux.
L’un tenait un énorme coutelas, l’autre une énorme fourchette à 2 pointes.
Sur le billot de chaque côté du poulet se trouvaient un couteau et une de ces fourchettes à 2 pointes qui servaient à l’époque à piquer les morceaux de viandes rôtis dans les plats où ils étaient tenus au chaud.
« Bisco – dit le roi, - tout ce que tu feras à ce poulet les bourreaux te le feront.
Les seigneurs se poussaient du coude en riant.
Bisco était terrifié. Il comprenait que s’il essayait de manger ce poulet, il serait mis à mort par les bourreaux
Il attrape une cuisse du poulet et commençe à tirer dessus.
Les bourreaux l’attrapent et tirent sur sa jambe.
Bisco s’arrête, regarde le couteau, la fourchette et éclate de rire.
Un rire énorme, gargantuesque qui ne s’arrête pas.
Les gens dans la pièce pensent que la faim et la peur l’ont rendu fou.
Soudain, il s’arrête et avec un grand sourire, attrape le poulet, le retourne et…
Lui lèche le cul. !
Le roi éclate de rire à son tour.
« C’est bon Bisco je te fais grâce, mais tu devras présenter des excuses à ces seigneurs en ma présence. »
Les seigneurs se retirent.
Bisco attrape le roi par la manche de son pourpoint. « Tu as été souvent très insultant avec eux. Même si souvent ils le méritaient, alors tu leur feras des excuses.
- Sire vous savez que des excuses peuvent être pire qu’une insulte.
- Allons Bisco, ce n’est pas possible.
-Sire, si je vous le prouve, est-ce que vous lèverez ma punition ?
- Oui Bisco, mais tu as jusqu’à demain soir. Après cela, tu seras mis au cachot pour 5 ans. »
Le lendemain après-midi, c’était le plein hiver. Un grand feu flambait dans la cheminée près de laquelle se trouvait le roi.
Bisco était là. Le roi attendait.
Désœuvré, il se penche vers la cheminée et se penche pour repousser des branches dans le foyer.
Bisco arrive sans bruit derrière le roi et lui caresse les fesses.
Le roi se retourne et le foudroie du regard.
- Oh! Excusez-moi Sire, j’ai cru sa majesté la reine ».

Popeye Magritte Jeu 27 Mai 2021 - 6:38

Eh ben, pour une fois que je me couche tot! J’ai tout raté! Ca rigole bien ici!!! MeK elle rigole pas quand elle va chez le coiffeur…

Mek Jeu 27 Mai 2021 - 7:09

william1941 a écrit:Une petite histoire espagnole
Le roi d’Espagne avait un fou. Comme tous les rois de l’époque.
Celui-ci s’appelait Bisco – que l’on peut peut-être traduire par biscuit en Français
Il était particulièrement virulent contre les seigneurs de la cour
Au point que ceux-ci obtinrent du roi qu’il le supplicie pour le punir.
Bisco fut enfermé 8 jours dans un cachot avec de l’eau et rien à manger.
Au bout de ce temps il fut amené dans une grande pièce.
Là se trouvait le roi et les seigneurs de son entourage.
Au milieu de la pièce il y avait un billot et sur le billot un poulet rôti tout fumant
A côté du billot se trouvaient 2 bourreaux.
L’un tenait un énorme coutelas, l’autre une énorme fourchette à 2 pointes.
Sur le billot de chaque côté du poulet se trouvaient un couteau et une de ces fourchettes à 2 pointes qui servaient à l’époque à piquer les morceaux de viandes rôtis dans les plats où ils étaient tenus au chaud.
« Bisco – dit le roi, - tout ce que tu feras à ce poulet les bourreaux te le feront.
Les seigneurs se poussaient du coude en riant.
Bisco était terrifié. Il comprenait que s’il essayait de manger ce poulet, il serait mis à mort par les bourreaux
Il attrape une cuisse du poulet et commençe à tirer dessus.
Les bourreaux l’attrapent et tirent sur sa jambe.
Bisco s’arrête, regarde le couteau, la fourchette et éclate de rire.
Un rire énorme, gargantuesque qui ne s’arrête pas.
Les gens dans la pièce pensent que la faim et la peur l’ont rendu fou.
Soudain, il s’arrête et avec un grand sourire, attrape le poulet, le retourne et…
Lui lèche le cul. !
Le roi éclate de rire à son tour.
« C’est bon Bisco je te fais grâce, mais tu devras présenter des excuses à ces seigneurs en ma présence. »
Les seigneurs se retirent.
Bisco attrape le roi par la manche de son pourpoint. « Tu as été souvent très insultant avec eux. Même si souvent ils le méritaient, alors tu leur feras des excuses.
- Sire vous savez que des excuses peuvent être pire qu’une insulte.
- Allons Bisco, ce n’est pas possible.
-Sire, si je vous le prouve, est-ce que vous lèverez ma punition ?
- Oui Bisco, mais tu as jusqu’à demain soir. Après cela, tu seras mis au cachot pour 5 ans. »
Le lendemain après-midi, c’était le plein hiver. Un grand feu flambait dans la cheminée près de laquelle se trouvait le roi.
Bisco était là. Le roi attendait.
Désœuvré, il se penche vers la cheminée et se penche pour repousser des branches dans le foyer.
Bisco arrive sans bruit derrière le roi et lui caresse les fesses.
Le roi se retourne et le foudroie du regard.
- Oh! Excusez-moi Sire, j’ai cru sa majesté la reine ».

Bravo j'adore !

Mek Jeu 27 Mai 2021 - 7:10

Popeye Magritte a écrit:Eh ben, pour une fois que je me couche tot! J’ai tout raté! Ca rigole bien ici!!! MeK elle rigole pas quand elle va chez le coiffeur…

L'ambiance était un peu retombée, c'était un bon moyen de ce remettre en selle !

Brase d'Anjou Jeu 27 Mai 2021 - 11:50

william1941 a écrit:Une petite histoire espagnole

Excellente William Laughing

PERALB Jeu 27 Mai 2021 - 19:10

Monsieur De Mesmaeker Jeu 27 Mai 2021 - 19:34

william1941 a écrit:Une petite histoire espagnole

William : two points ! cheers

natalefr Jeu 10 Juin 2021 - 21:02

BobyLaGanache Jeu 10 Juin 2021 - 22:08

L'angoisse ! Shocked

Omnivisibilis Jeu 10 Juin 2021 - 22:36

Que du bon goût Shocked

Jaufré Cantolys Jeu 10 Juin 2021 - 22:56

william1941 a écrit:Une petite histoire espagnole
Le roi d’Espagne avait un fou. Comme tous les rois de l’époque.
Celui-ci s’appelait Bisco – que l’on peut peut-être traduire par biscuit en Français
(...)
Le roi se retourne et le foudroie du regard.
- Oh! Excusez-moi Sire, j’ai cru sa majesté la reine ».

Merci William pour cette anecdote que je connaissais pas, et que je verse à ma petite anthologie des bouffons royaux (sur lesquels je rédigeai jadis un petit essai).

Dans le même registre, on raconte que Triboulet, bouffon de François 1er, avait un jour manqué de respect à la Reine (ou bien était-ce à la Belle Ferronnière). Le Roi le condamna à mort. Mais par égard pour ses années de services, il lui laissa le choix de la mort. Triboulet rétorqua : « Bon sire, je demande à mourir de vieillesse ». François 1^er éclata de rire et lui laissa la vie sauve. Very Happy

Jaufré Cantolys Jeu 10 Juin 2021 - 23:10

Mek a écrit:

Je reconnais bien le Pape et le Dalaï Lama - mais le type à droite, c'est qui? Wink

Brase d'Anjou Jeu 10 Juin 2021 - 23:41

Jaufré Cantolys a écrit:Dans le même registre, on raconte que Triboulet, bouffon de François 1er, avait un jour manqué de respect à la Reine (ou bien était-ce à la Belle Ferronnière). Le Roi le condamna à mort. Mais par égard pour ses années de services, il lui laissa le choix de la mort. Triboulet rétorqua : « Bon sire, je demande à mourir de vieillesse ». François 1^er éclata de rire et lui laissa la vie sauve.

Excellente Laughing

Invité Ven 11 Juin 2021 - 9:11

Jaufré Cantolys a écrit:
Mek a écrit:

Je reconnais bien le Pape et le Dalaï Lama - mais le type à droite, c'est qui?

Le diable ?

Mort de rire — parce que j'ai le sens de l'humour ! - Page 37 Lol210

Invité Ven 11 Juin 2021 - 9:20

Mort de rire — parce que j'ai le sens de l'humour ! - Page 37 Haha-r10

Brase d'Anjou a écrit:
Jaufré Cantolys a écrit:Dans le même registre, on raconte que Triboulet, bouffon de François 1er, avait un jour manqué de respect à la Reine (ou bien était-ce à la Belle Ferronnière). Le Roi le condamna à mort. Mais par égard pour ses années de services, il lui laissa le choix de la mort. Triboulet rétorqua : « Bon sire, je demande à mourir de vieillesse ». François 1^er éclata de rire et lui laissa la vie sauve.

Excellente

PERALB Ven 11 Juin 2021 - 13:46

william1941 Ven 11 Juin 2021 - 14:35

Triboulet avait encore fait une bêtise.
Il avait reçu un grand coup e pied au derrière administré par la chaussure royale et s'était retrouvé sur le pavé de Paris où il errait, tout en réfléchissant à un moyen de retourner au château et de se faire pardonner par son souverain.
Il marchait depuis plusieurs heures lorsqu'un tiraillement au niveau de son gaster lui rappela qu'outre la douleur de son postère -le Roy avait un coup de botte bien connu - il avait à satisfaire ce besoin naturel impossible à éviter: La faim.
Au fond d'une des poches de son pourpoint de fol, il trouva un morceau de pain qui lui avait servi à essuyer ses doigts lors du dernier repas.
Il fouilla son escarcelle et n'y trouva qu'une malheureuse petite pièce.
Pas assez pour s'offrir ne fusse qu'une cuisse de ces poulets qui embaumaient la rue près de la boutique du rôtisseur.
Dépité, Triboulet s'accota à l'éventaire et commença à manger son pain en humant à grande inspiration les parfums des poulets rôtis qui lui passaient sous les narines.
Ayant terminé il s'appêtait à reprendre son chemin lorsqu'il s'entendit hélé par le rôtisseur:
"Holà l'ami, il faudrait penser à me payer.
- Vous payer? Mais de quoi? demande Triboulet abasourdi
- Mais de l'odeur de mes poulets dont vous vous êtes gavé pendant tout votre repas."
Triboulet envisgea de partir encourant pour éviter une querelle d'Allemand.
Puis il se ravisa.
Il revint vers l'éventaire, sortit la pièce qu'il avait dans son escarcelle.
Il voyait le visage du commerçant s'épanouir à l'idée de réussir à faire payer à cet imbécile l'odeur de ses poulets.
Il fit rebondir la pièce sur le comptoir du rôtisseur, s'en saisit prestement, et la remis dans son escarcelle
"Bien l'ami, elle sonne de bon aloi. Il ne te reste plus qu'à me la remettre.
- Mais pourquoi?
- Pour me payer l'odeur de mes poulets tiens donc.
- Puisque j'ai eu l'odeur de tes poulets, tu n'as qu'à garder le son de ma pièce en paiement."
Et triboulet reparti en riant.
D'autant qu'il venait de ce dire que ceci pourrait bien être l'histoire à raconter au Roy qui lui permettrait de revenir dans le château.

Ernie Ven 11 Juin 2021 - 17:45

Sympathique histoire William !

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