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Je viens juste de finir ce livre ....

Tuggy a écrit:
Je viens juste de finir ce livre ....

Je l'ai lu deux fois en 25 ans d'écart. L'histoire revisitee de l'humanité et de notre planète, pourquoi la lune a des cratères, d'où viennent les africains. Ce livre mériterait une adaptation ciné selon moi.

Pierrot Gourmand a écrit:

Tuggy a écrit:
Je viens juste de finir ce livre ....

Je l'ai lu deux fois en 25 ans d'écart. L'histoire revisitee de l'humanité et de notre planète, pourquoi la lune a des cratères, d'où viennent les africains. Ce livre mériterait une adaptation ciné selon moi.

Exactement  ce que je me suis dit en le refermant ....

Aha excellent, la Caisse d'épargne de Tonnerre, dans l'Yonne, de trouvait il y an e'core quelques années, à l'hôtel d'Uzes, qui fut la retraite du chevalier.

Ayant fini les mémoires de Churchill (1919-1941), il me fallait un nouvelle lecture pour le trajet du boulot. Etant déjà, entre autre, sur 1984 de George Orwell, je me suis orienté sur une autre uchronie, Fatherland, de Robert Harris



La petite présentation: Berlin, 1964. Les forces de l'Axe ont gagné la guerre, la paix nazie reine sur l'Europe. L'Amérique a refusé le joug. Mais, dans quelques jours, le président Kennedy viendra conclure une alliance avec le Reich. Ce sera la fin du monde libre.
Deux meurtres viennent perturber les préparatifs. Les victimes sont d'anciens S.S. de haut rang jouissant d'une paisible retraite. Chargé de l'affaire, l'inspecteur March s'interroge. S'agit-il d'un règlement de compte entre dignitaire? Pourquoi la Gestapo s'intéresse-t-elle à l'enquête? Quelle est cette vérité indicible qui semble menacer les fondations du régime? Dans Berlin pavoisé, les bourreaux guettent, prêt à tout pour étouffer les dernières lueurs de la liberté.

Ah ça a l'air sympa

en se moment je lis un roman de stephen king " carnet noir" ,

C'est pour moi une découverte récente et un régal comme on en trouve trop rarement dans une vie de lecteur. Un vrai coup de coeur.
J'ai commencé par "Bérézina", récit de sa randonnée hivernale sur les traces de la retraite de Russie. J'ai enchainé avec "l'axe du Loup", hallucinant voyage sur les traces des évadés du Goulag. Le récit m'a d'autant plus passionné que j'avais lu autrefois "A marche forcée" de Slavomir Rawicz, à l'époque chaudement recommandé par le regretté Michel Polack. C'est un récit terrifiant dont la véracité est toutefois controversée. Sylvain tesson s'est mis en tête de refaire cette balade de 8000 kilomètres depuis la Sibérie jusqu'à l'Inde. Et pas n'importe comment : à pied, en vélo ou à cheval sans moyen motorisé. 
Je viens d'attaquer "Une très légère oscillation" son journal de 2014-2017. J'aime tout chez lui. La langue est belle. Le style est limpide et le vocabulaire riche mais sans ostentation. L'esprit est vif, la poésie et l'humour sont la ponctuation. Et puis, surtout, il y a de la matière à raconter, du pas banal. La réflexion s'appuie sur du vécu, avec pudeur et modestie. j'ai bien l'intention de lire tout ce qu'il a écrit, de quoi me régaler pour quelques temps et longtemps après j'espère avec tout ce qu'il écrira encore s'il ne fait pas trop le con.
Je viens de lire un passage où il fait référence à Dersou Ouzala ! 
Ah oui au fait : le gars fume la pipe !

Dersou a écrit:C'est pour moi une découverte récente et un régal comme on en trouve trop rarement dans une vie de lecteur. Un vrai coup de coeur.
J'ai commencé par "Bérézina", récit de sa randonnée hivernale sur les traces de la retraite de Russie. J'ai enchainé avec "l'axe du Loup", hallucinant voyage sur les traces des évadés du Goulag. Le récit m'a d'autant plus passionné que j'avais lu autrefois "A marche forcée" de Slavomir Rawicz, à l'époque chaudement recommandé par le regretté Michel Polack. C'est un récit terrifiant dont la véracité est toutefois controversée. Sylvain tesson s'est mis en tête de refaire cette balade de 8000 kilomètres depuis la Sibérie jusqu'à l'Inde. Et pas n'importe comment : à pied, en vélo ou à cheval sans moyen motorisé. 
Je viens d'attaquer "Une très légère oscillation" son journal de 2014-2017. J'aime tout chez lui. La langue est belle. Le style est limpide et le vocabulaire riche mais sans ostentation. L'esprit est vif, la poésie et l'humour sont la ponctuation. Et puis, surtout, il y a de la matière à raconter, du pas banal. La réflexion s'appuie sur du vécu, avec pudeur et modestie. j'ai bien l'intention de lire tout ce qu'il a écrit, de quoi me régaler pour quelques temps et longtemps après j'espère avec tout ce qu'il écrira encore s'il ne fait pas trop le con.
Je viens de lire un passage où il fait référence à Dersou Ouzala ! 
Ah oui au fait : le gars fume la pipe !

J'ai pris grand plaisir à lire L'Axe du Loup récemment (ce qui m'a incité à lire Rawicz, que je n'avais jamais lu). Je partage ton enthousiasme pour cet auteur, à un détail près: "L'esprit est vif, la poésie et l'humour sont la ponctuation." Oui pour l'esprit et la poésie, mais à mon sens il manque un peu d'humour. Peut-être est-ce dû à l'habitude des longues randonnées en solitaire: cela éloigne du commun des hommes. De plus il avoue ne pas apprécier la "soupe aux intestins" ni les "sourires édentés" des bergers mongols: c'est bien dommage.

Je le relis, des années que je ne l'avais ouvert...

JE LE RELIS AVEC UN PLAISIR TOUJOURS RENOUVELÉ !

Demain Les Chiens fleure bon le vintage et est délicieusement old fashion.
Et si la science-fiction bucolique de sieur Simak est agréable à lire, il reste affreusement pessimiste, ce livre ne racontant pas moins que la disparition de l’Homme. Alors, il le fait par le biais de récits légendaires contés par des chiens qui ont atteint la sapiens. Le tout tourne d’ailleur un peu débat philosophico-théologique…

Haïkus : Anthologie – traduction de Roger Munier



« Le haïku est par essence plus qu’un poème, même au sens fort qu’on peut donner au mot. A l’égal des autres arts du Japon, tels que le Nô, le tir à l’arc, la calligraphie, la peinture, l’arrangement des fleurs, l’art des jardins, il est tout imprégné de bouddhisme Zen. Sa pratique, écriture et lecture, est en elle-même un exercice spirituel. Il n’est pas exagéré de dire que ce que propose un haïku achevé est une expérience qui s’identifie peu ou prou à celle du satori, de l’illumination. »

Avant-propos de Roger Munier


Rien d’autre aujourd’hui
que d’aller dans le printemps
rien de plus

(Buson 1716 – 1783)

en se moment je lis' fin de ronde' une trilogie policiere de stephen king le dernier tome a une bonne part de fantastique,trois bon romans qui se lisent tres facilements pas de temps mort une ecriture au "couteau" .un des tres bon king,
ensuite je saute sur le dernier livre d'amelie nothomb ,le sujet c'est une reflexion sur les dernier jours de jesus.l'interet du roman
c'est que celui ci est ecris a la premiere personne comme si cetais jesus qui raconte ces derniers moment.
au faite le livre s'intitule "soif"  

Tison-Ardent, le premier roman de Gervais Pomerleau, publié par la maison d’édition « Humanitas » en 1992. L’histoire d’une vieille amérindienne Papinachoise, de la Nation des Algonquiens qui, sentant venir la fin, décide de transmettre à son petit-fils, la somme des connaissances acquises au cours de sa vie. Tison-Ardent nous fait réaliser notre incompréhension devant les Premières Nations. Ce sera le premier volet de ce qui s’appelle déjà, dans l’esprit de l’auteur, la trilogie de L’Essence d’un Peuple.

Plus d’un demi-siècle plus tard, qu’est-il advenu de cet héritage, de toute cette science ancestrale, généreusement offerte par la vieille indienne qui avait l’art de transcender le temps? A-t-elle servi? A-t-elle porté fruit? C’est ce que Gervais Pomerleau nous convie à découvrir dans "La Complainte des Huarts", le deuxième volet de la trilogie. Il nous invite, par la même occasion, à partir à la découverte de nos racines.

Ce deuxième volet est dédié à sa femme. « Pour Ginette, mon complément direct, ma première lectrice, la plus impitoyable, celle qui supporte mes frustrations d’écrivailleur en mal d’accouchement littéraire."

Avec « Le Fleuve de la Mort », le dernier volet de la trilogie l’Essence d’un Peuple, Gervais Pomerleau nous convie à découvrir. Il nous invite, par la même occasion, à nous réconcilier avec nos racines.


Tison-ardent (Roman, Humanitas, 1992)
La Complainte des Huarts (Roman, Humanitas, 1994)
Le Fleuve de la mort (Roman, Humanitas, 1996)

En ce moment, j'ai commencé ce livre, sur les pilotes de F1 de légende :



Pour un grand passionné de voitures comme moi, et particulièrement de course automobile, ce livre est réellement celui qui manquait dans ma bibliothèque. Plein de récits fabuleux, d'anecdotes  de course, mettant en lumière, non pas les machines comme souvent, mais les hommes, leur personnalités propres, leur courage... etc

Inutile je pense de vous dire à quel point je me délecte de ce bouquin.

Je me replonge dans l'oeuvre de Sir Pratchett.....et il y a de quoi lire 

Tuggy a écrit:
Je me replonge dans l'oeuvre de Sir Pratchett.....et il y a de quoi lire 

Ces livres sont géniaux !
Les deux premiers tomes sont à lire ensemble. Peu importe pour les autres.

Relecture bien agréable !

L’oncle Cassave va mourir.
Il convoque toute sa famille à son chevet dans la demeure de Malpertuis et leur dicte ses dernières volontés : que tous s’installent dans cette colossale maison de maître et que revienne, aux deux derniers survivants, sa fortune. Aucun des proches ne se doute du drame qui les attend. Tout commence par des lumières qui s’éteignent mystérieusement. Bientôt l’horreur jaillira des mûrs mêmes de la maison.

la hyène a écrit:

Bonjour à tous,

voilà le livre que je lis présentement:

Un auteur que je découvre et plus intéressant qu'il n'y paraît. J'avais lu sa biographie qui est romanesque au possible, où l'on découvre une vie comme peut-être il ne sera plus possible d'en vivre avec la drogue, le jeu, l'alcool, les femmes, les livres, le journalisme, les écrivains, les pilotes, les tours du monde en bateau......C'est dommage que l'on résume sa bibliographie au Lion qui est dans mes souvenirs d'enfance un bon roman.

Kessel est un des mes auteurs du XXème siècle préférés. Quand j'avais 23 ans, je rêvais de devenir un aventurier comme lui. Son roman d'aventures Fortune Carrée, ou son récit autobiographique Les temps sauvages, furent pour moi des révélations. C'est leur lecture (ainsi que celle de Blaise Cendrars) qui m'ont conduit à vivre l'aventure au Vénézuela, en Colombie, et jusqu'en Chine... (C'était bien avant que je me mette à fumer la pipe.)
Mais bizarrement, je n'ai jamais lu le Lion!

Ric le Gaumais a écrit:

Relecture bien agréable !

L’oncle Cassave va mourir.
Il convoque toute sa famille à son chevet dans la demeure de Malpertuis et leur dicte ses dernières volontés : que tous s’installent dans cette colossale maison de maître et que revienne, aux deux derniers survivants, sa fortune. Aucun des proches ne se doute du drame qui les attend. Tout commence par des lumières qui s’éteignent mystérieusement. Bientôt l’horreur jaillira des mûrs mêmes de la maison.

Ah tiens, faut que je le dégotté celui ci

Bonsoir à tous, très heureux de retrouver un peu le manoir. Du coup je participe modestement, Le bouchonne de cristal, encore Maurice Leblanc et Arsene Lupin.....